Que l’on soit parents, enseignants, encadrants ou directeurs d’école, nous avons tous le même souci de veiller à la santé et au bien-être de nos enfants.

De plus en plus d’études scientifiques et d’articles de professionnels de la santé nous mettent en garde contre les conséquences que révèle un usage prolongé du port du masque chez les enfants.

Nous pouvons faire le choix de les ignorer et de nous reposer sur l’incroyable capacité d’adaptation de nos enfants. En effet, le jeune enfant s’adapte à tout, pour un peu que ce soit l’adulte référent qui lui demande, car il ne voudrait surtout pas lui déplaire. L’adulte référent, c’est sa maman, son papa, sa mamie, ou sa maitresse, quand il est à l’école. C’est la grande personne qui sait ce qui est bon pour lui, et donc, il lui fait confiance. C’est d’ailleurs une des causes principales de la difficulté à découvrir qu’un enfant est maltraité par un des adultes référents de son entourage.

Dans notre société, l’enfant est peu à même de savoir ce qui est bon pour lui, surtout si ça vient contre le désir de l’adulte référent. Cependant, il peut par des mimiques, des attitudes exprimer son mal-être, son inconfort ou son malaise. C’est à nous de savoir les interpréter et de ne surtout pas rester aveugles et sourds devant un changement de comportement, ni décider qu’il s’agit de caprices, uniquement pour ne pas déroger à la loi du conformisme. C’est notre rôle à nous, parents ou encadrants, de veiller à sa bonne santé, sa sécurité et son bien-être. C’est tout ce qui compte.

Lorsqu’un protocole sanitaire impose à l’enfant un acte médical, il est donc de notre devoir de nous assurer que celui-ci ne nuira pas à sa santé. Car le port du masque EST un acte médical. D’ailleurs, comme pour tout acte médical, nous devons avoir connaissance de ses effets secondaires. Il est évident qu’il ne doit pas non plus nuire à son bien-être car sa santé mentale en dépend.

Dans le cas présent, mise à part une propagande de plus en plus lourde et obsédante, il est curieux de constater que tout ce qui a trait aux effets secondaires du port du masque, est trié par des « médias de vérification », et systématiquement censuré. Ou bien des soignants peu scrupuleux et en recherche de reconnaissance sur des plateaux de télé nous affirment que le port du masque n’entraine aucun effet secondaire.

C’est à se demander si respirer qui jusque-là semblait être incontournable pour vivre est tout à coup devenu accessoire.

Habitués à écouter le médecin à qui nous confions la santé de nos enfants, il nous vient rarement à l’esprit de remettre sa parole en doute. Dans un contexte ordinaire, nous n’avons pas à nous plaindre. Nos inquiétudes et nos craintes, notre manque d’assurance ont pris le dessus sur notre instinct et notre bon sens. La peur de faire du mal à notre enfant nous impose donc d’écouter religieusement le médecin.

Mais nous ne vivons pas une situation ordinaire. Tout est chamboulé, et le soignant n’a même plus le droit d’émettre un avis qui soit contraire aux consignes qu’il reçoit de l’ARS, devenue toute puissante. Le ferait-il d’ailleurs, vu qu’il ne dispose ni de recul, ni d’informations nécessaires lui permettant d’appréhender cette situation de la meilleure manière possible ?
De plus, plutôt que nous fournir des explications plausibles, le gouvernement préfère imposer et sanctionner, s’inspirant ainsi des méthodes de soin d’antan, où le malade n’avait pas droit à la parole et n’avait pas d’autre choix que celui d’obéir. Sinon, le médecin le menaçait, le culpabilisait. Ces médecins avaient alors un égo démesuré et ne supportaient pas d’être contredits.

Les temps ont bien changé, et pourtant, nous sommes revenus des décennies en arrière. Nous obéissons aveuglément, par peur de notre ignorance, par culpabilité, et par conformisme. Porter un masque 8 heures d’affilée à l’école, y compris durant les récréations, c’est inédit. Même pour les professions qui exigent le port du masque, cela se fait dans certaines circonstances, environnements, et jamais durant 8 heures.

A ce jour, aucune étude ne peut démontrer l’innocuité du masque sur les enfants, pas plus que son efficacité pour réduire la propagation du virus.

Nous, parents, enseignants, acceptons donc sans broncher qu’un acte médical soit appliqué chaque jour à nos enfants, sans que les conséquences, bonnes ou mauvaises, n’aient été évaluées auparavant.

Combien de temps encore allons-nous continuer à agir comme cela ?

Combien de temps encore allons-nous accepter tout cela ?

Heureusement, des (ré)actions existent et elles se font de plus en plus nombreuses. Les tentatives d’étouffement, de censure, de plus en plus violentes ne sont que les témoins de cette force qui se lève, de plus en plus importante.

Les collectifs de parents sont nombreux, partout en France. L’indignation ne concerne pas une poignée d’individus complètement cinglés et conspirationnistes comme voudraient nous le faire croire les médias. Des médecins prêtent leur voix et leur expertise à cette cause, bientôt rejoints par des avocats qui n’hésitent plus à porter ces actions en justice.

La cause des enfants et leur mal-être tant psychique que physique sont bien réels et ils interpellent.

S’ils vous touchent donc, soyez rassuré : vous n’êtes pas seul.

Renouer le dialogue

Avec l’école

Le lien est globalement rompu avec le corps enseignant. La distanciation est réelle et ne s’attaque pas qu’au virus ! Pourtant, nous laissons nos enfants 8h/jour dans les écoles. Il est normal de s’interroger, d’interroger, de vouloir des réponses.

Nous pouvons dire par exemple “le fait que l’on impose le port du masque, et donc, un acte médical à mon enfant sans mon consentement, m’inquiète. Est-ce qu’on peut en parler?

Il peut être intéressant ensuite d’arriver devant l’école avec un oxymètre afin de mesurer l’hypoxie, au début et à la fin de la journée. Discutez avec les autres parents, les enseignants, ouvrez le dialogue. Votre démarche vise à vous assurer de la bonne santé et de la sécurité de votre enfant, ni plus ni moins. Vous pouvez proposer aux autres parents d’observer les résultats avec vous, voire de leur prêter l’oxymètre (après l’avoir désinfecté avec du gel hydroalcoolique).

Le Dr Fouché, médecin anesthésiste et réanimateur, rappelle dans cette vidéo tous les principes élémentaires de la respiration, n’hésitez pas à vous en servir pour interpeller votre entourage.

Si vous faites face à des personnes particulièrement inquiètes et vivant dans la crainte du virus, ne les braquez pas, mais montrez-leur au contraire que vous les comprenez. Finalement, nous avons tous pour priorité de ne mettre personne en danger. Si elles craignent d’être contaminées, peut-être peuvent-elles porter un masque FFP2 par exemple?

Avec vos élus

Le Maire est directement lié à l’école primaire, il est donc tout à fait légitime de se tourner vers lui pour lui poser vos questions, lui faire part de vos doutes.

Les études récentes évoquant les effets délétères du masque pour les enfants et le fait qu’il n’existe aucune preuve de l’efficacité d’une telle mesure sont des raisons suffisantes pour affirmer votre position.

Déjà dans plusieurs communes, les élus s’emparent du problème et organisent des tests comparatifs de saturation en oxygène, à l’entrée puis à la sortie de l’école, après le port prolongé du masque des enfants de primaire.

Cela dans le but de contrôler que cela n’affecte pas leur capacité respiratoire. 

Vous pouvez proposer cette action à votre commune, votre communauté de communes, votre député.

Joignez à votre demande ce Bilan de l’Impact du protocole sanitaire sur la santé de l’Enfant.

Personnes à contacter : la mairie, les écoles primaires, maternelles, collèges et lycées, APEL, académie, DSDEN, syndicats enseignants, l’association des maires de France etc…

Enseignants, directeurs d’école : nos enfants ont besoin de vous, vous êtes nombreux à nous contacter pour nous faire part de votre désaccord et de votre mal-être face à la situation.

Il est grand temps que tout le monde se rassemble pour défendre la cause des enfants !

 

 

Découvrir le site du Collectif de Santé Pédiatrique de Reinfocovid

Ce site a pour objectif de présenter des informations, des écrits, des études scientifiques, concernant l’état de santé (bien-être physique, mental et social) de l’enfant, dans ce contexte de “protocoles sanitaires” allant à l’encontre de ses droits et besoins fondamentaux.

Ce pôle rassemble des soignants spécialisés en pédiatrie, réunis au sein du collectif Réinfo-covid, afin de défendre la place de l’enfant dans ce contexte de « crise ».

Accéder au site du Collectif de Santé Pédiatrique