Résumé

Constats

D’après les données officielles[3] publiées au 3 juin 2021, le Québec a eu à déplorer la mort de 11 144 personnes décédées de la Covid-19.
Ces résultats doivent cependant être analysés finement.

Tout d’abord, il apparait que la majorité des décès a eu lieu au début de la pandémie, soit lors des mois de mars, avril et mai 2020, comme le montre la courbe des décès :

En fait, en regardant ce graphique, on peut se poser deux questions subsidiaires :

1/ Sachant que le nombre de tests a considérablement augmenté à partir du mois d’aout 2020, on peut légitimement se demander si la « deuxième vague » ne parait pas grossie comparativement à la première, époque lors de laquelle on testait très peu.

2/ On nous parle aujourd’hui d’une possible « quatrième vague », notamment à la suite des propos que l’on peut aujourd’hui qualifier de « burlesques » d’experts comme les Dr. François Marquis ou Pierre-Claude Poulin qui disaient espérer « que les gens de la Beauce qui sont allés manifester ne seront pas responsables d’une quatrième vague[4] ». Mais, comme on le constate en examinant le graphique 2.2, la « troisième vague » est à peine perceptible… pour ceux qui arrivent à la distinguer. Comment pouvaient-ils alors parler de quatrième vague?

De plus, autre constat, ce graphique est confirmé par le tableau 2.4[5] : plus de 90 % des gens qui décèdent de la Covid ont plus de 70 ans.

On réalise à la lecture de ces données :

1/ Que la pandémie est derrière nous;

2/ Que les personnes les plus à risque sont les personnes âgées et qu’en dessous de 50 ans, les risques de décéder de la covid sont quasiment nuls.

Rapport bénéfice / risque

On peut donc légitimement s’interroger sur la campagne de vaccination. Si on peut comprendre que l’on souhaite protéger nos aînés (encore qu’il existe d’autres alternatives comme l’ivermectine, qui a des effets spectaculaires partout où elle est prescrite, comme en Inde, au Mexique, au Portugal et dans de plus en plus de pays dans le monde[6]) pour qui le rapport bénéfice / risque parait acceptable (encore que l’on ne connait pas les effets à long terme des vaccins[7]), il en va tout autrement pour les moins de 50 ans… et encore plus pour les 12-18 ans que les gouvernements entendent maintenant vacciner.

En effet, quel est l’intérêt de vacciner une catégorie de la population qui non seulement n’a aucun risque ou presque de développer une forme grave de la maladie alors que le risque d’avoir des effets secondaires est, lui, bien réel?

Les enfants ne sont pas à risque et ne sont pas contagieux

Rappelons que l’argument du gouvernement est d’arriver à « l’immunité collective » : selon ce dernier, quand tout le monde ou presque sera vacciné, il n’y aura plus de risque de transmission (ou en tout cas ce risque sera fortement réduit). Cependant, diverses études[8] montrent que les « les enfants ne propagent pas la maladie. Cela a été démontré en milieu scolaire[9]. » L’intérêt de la vaccination pour les jeunes est donc extrêmement réduit. En fait, il apparait qu’il n’existe finalement aucune raison vraiment valable de vacciner les enfants… et que cette opération est en fait risquée puisqu’elle expose notre jeunesse à de possibles effets secondaires graves, voire la mort.

164 morts par millions de doses injectées

Ainsi, on apprend dans un document interne d’AstraZeneca que le vaccin de Pfizer est 3 fois plus mortel que le leur (le vaccin Astrazeneca)[10]. Rappelons que le vaccin AstraZeneca a été retiré car jugé trop peu sécuritaire[11]

Mais le document va plus en loin en donnant le nombre de morts par millions auquel on peut s’attendre. Il s’agit des données officielles, donc probablement minimisées (on ne compte plus le nombre de témoignages de personnes rapportant des effets secondaires graves apparus peu de temps après la vaccination… mais pour lesquels les autorités sanitaires affirment qu’il n’y a aucun lien avec la vaccination). En se basant sur celles de la Norvège qui a les chiffres les plus élevés (et probablement les plus proches de la réalité), on arrive à un taux de décès de 164 morts par millions de doses injectées (et non par personnes vaccinées).

Voici un tableau qui récapitule la population du Québec au 29 septembre 2020[12] :

On constate qu’au 1er juillet 2020, la population du Québec s’élève à 8 574 571 personnes. Si on applique le taux de la Norvège avec 164 décès par millions de doses injectées (et non par personnes vaccinées, ce qui double les risques puisqu’il faut deux doses, ce qui explique pourquoi nous multiplions toujours par deux dans nos formules) et que l’on estime que le gouvernement arriverait à vacciner 8 millions de personnes, on devrait s’attendre au décès de 8 x 164 x 2 = 2 624 personnes!

Plus grave, si on se concentre sur les personnes qui n’ont quasiment aucun risque de décéder, soit les moins de 65 ans (90 % des personnes qui décèdent ont plus de 70 ans), on remarque que ce groupe d’âge représente 6,9 millions d’individus (6 882 088). En appliquant toujours ce taux de 164 morts pour 1 million d’injections, on arrive donc au décès de personnes qui n’ont quasiment aucun risque de 6,9 x 164 x 2 = 2 263 morts!

À comparer aux 11 000 morts de la Covid, qui sont des gens très âgés et malades[13].

Mais plus grave encore : si on se concentre sur les 516 513 jeunes de 12-17 ans, qui comme on l’a vu, non seulement ne présentent aucun risque de décéder de la Covid, mais qui en plus ne sont pas ou très peu contagieux, on arrive à une estimation de 164 / 2 x 2 = 164 décès!

Enfin, des tests sont en cours actuellement pour vacciner les enfants dès 6 mois[14]. Si l’on considère tous les jeunes de 1 à 17 ans, cela représente 1 millions d’enfants (1 001 275). On peut donc s’attendre à 164 x 2 = 328 morts[15]!

Rappelons-le : ce sont des jeunes en santé, qui n’ont quasiment aucun risque et qui sont très peu contagieux…

Conclusion

La campagne actuelle de vaccination pour les jeunes de 12 à 17 ans risque d’entrainer le décès de 164 jeunes de 12 à 17 ans. Et celle de 328 enfants de 6 mois à 17 ans si la vaccination est finalement également ouverte aux jeunes de 6 mois à 12 ans. Le tout alors que cette catégorie de la population :

  • Ne court aucun danger ou presque de contracter une forme grave de la maladie;
  • Est extrêmement peu contagieuse.

Ajoutons à cette estimation de 328 décès les effets secondaires (on ne compte plus les témoignages à ce sujet), qui risquent d’être beaucoup plus nombreux (paralysie, cécité, thromboses, myocardites, etc.).

Ces risques probables de décès et d’effets secondaires graves sur une population qui n’est pas à risque, les autorités sanitaires et nos gouvernants les connaissent. C’est en toute connaissance de cause qu’ils incitent les jeunes à aller se faire vacciner. Cependant, comme on l’a vu, ni eux ni la société n’en retireront un réel bénéfice. En revanche, les effets secondaires et les décès qui découleront de cette campagne seront bien réels.

On peut donc légitimement se demander ce qui pousse les autorités à aller de l’avant dans cette campagne de vaccination et nous espérons qu’un maximum de gens, à la lecture de cet article et conscients des risques, y réfléchiront à deux fois avant de faire vacciner leurs enfants.

Auteur : Christian Leray, M.A.

 

[1] https://fr.sputniknews.com/sante/202105261045656261-astrazeneca-confirme-que-le-vaccin-pfizer-a-cause-pres-de-3-fois-plus-de-deces-que-sa-preparation/

[2] https://reinfocovid.fr/science/les-enfants-ne-doivent-pas-etre-vaccines-contre-la-covid-19/

[3] https://www.inspq.qc.ca/covid-19/donnees

[4] https://www.journaldequebec.com/2021/05/07/covid-19-jespere-que-les-gens-de-la-beauce-ne-seront-pas-responsables-dune-quatrieme-vague?fbclid=IwAR09UvLqrojAtZ0gF9vnJ3FPij8EsHd686Yd1PE9IOrSc-cAqqmVcgM-cF8

[5] https://www.inspq.qc.ca/covid-19/donnees/age-sexe

[6] https://blog-gerard.maudrux.fr/2021/05/28/inde-covid-et-ivermectine-suite/?fbclid=IwAR0H7zd0PmDZ71UFJbUy9HCLdmzsGjwzqxOIvAhDiSoGrnbUNOAaXkLb3dY

[7] https://www.journaldemontreal.com/2020/11/26/en-suede-lombre-dun-fiasco-plane-sur-les-nouveaux-vaccins-contre-le-covid-19

[8] https://www.thelancet.com/journals/lanepe/article/PIIS2666-7762(21)00069-7/fulltext?fbclid=IwAR3zu-AXe4j1QmVzL4fsqE7FMWj-xVkMcmxICZmZlrlo7k6I7S8Ge8UDdts

[9] https://reinfocovid.fr/science/les-enfants-ne-doivent-pas-etre-vaccines-contre-la-covid-19/

[10] https://fr.sputniknews.com/sante/202105261045656261-astrazeneca-confirme-que-le-vaccin-pfizer-a-cause-pres-de-3-fois-plus-de-deces-que-sa-preparation/?fbclid=IwAR0T8bhrfbmM3ja0sEI9ygsFlHe7J511NbIvALKN5C0LWhC1YXehk8iwuCE : nous sommes conscients que cet article repose en grande partie sur cette publication de Sputnik, média russe, décrié par la presse grand public. On pourrait ajouter les points suivants : Sputnik est un média d’État russe, qui développe lui-même un vaccin qui se nomme lui-aussi Sputnik et concurrent de Pfizer… Cependant, Sputnik se sait sous très grande surveillance et qu’à la moindre erreur il se fera décrier par tous les médias. Il se montre donc très vigilant quant aux informations qu’il publie. Il est à ce sujet très parlant de noter qu’aucun média grand public n’a « débunké » cette nouvelle. Ou sont les “Décodeurs” et autres “AFP factuels”? En principe, si cette nouvelle était fausse, ils auraient dû se précipiter, rapporter le démenti d’AstraZeneca. Il aurait dû avoir aussi une réaction de Pfizer. Mais il n’en est rien et ce silence assourdissant donne de la crédibilité à cette information. Ce qui nous amène à considérer qu’elle est vraie, tant que nous n’aurons pas la preuve du contraire.

[11] https://www.journaldequebec.com/2021/05/13/premiere-dose-de-vaccin–astrazeneca-ne-sera-plus-offert-au-quebec?fbclid=IwAR3xzJDiYxoTbm7BCEsx6mgCn0zIEWG2mYq0xPhqRSbUwC8wGNzkwK7s-U0

[12] https://www.mfa.gouv.qc.ca/fr/Famille/chiffres-famille-quebec/chiffres-famille/Pages/demographie-population-familles.aspx?fbclid=IwAR3A3dq9yTPKJrhpl3yhUqO8c1OV6aOlLJqup4Qmllp9Hf5ZxyKrGSiOA0w#:~:text=Selon%20les%20plus%20r%C3%A9centes%20estimations,1er%20juillet%2020201

[13] D’après l’INSPQ, 96,8 % des personnes décédées de la Covid avaient au moins une « condition médicale préexistante » (une maladie grave) : https://www.inspq.qc.ca/covid-19/donnees/conditions-medicales-preexistantes

[14] https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-03-19/vaccination-des-enfants/des-essais-cliniques-delicats.php

[15] Il est à noter que ces chiffres pourraient être plus élevés car les enfants ne sont pas encore arrivés à leur stade de développement d’adulte, ils sont donc plus fragiles.

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