Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.

Au programme :

  • Crise sanitaire ou fraude et corruption?
  • Lettre à la Santé publique fédérale
  • « « Corrélation n’est pas causalité », quand cela arrange… »
  • Don de sang des vaccinés
  • Des soignants suspendus convoqués par la police
  • Un député britannique propose une enquête sur la sécurité des vaccins
  • Années 1940 et 2020 : un parallèle est-il possible?
  • Les effets secondaires de la vaccination en général
  • Des phénomènes mystérieusement étranges

 

Comment la fraude et corruption ont été les vraies causes de la crise « sanitaire »

« J’inaugure ici la série de publications présentant les contributions des différents intervenants aux colloques de Lisbonne et Peyrolles sur le thème «Corruption et fraude dans la crise COVID depuis 2020». Je ne commence évidemment pas avec la mienne par nombrilisme, mais parce que la crise dite sanitaire a révélé un degré de gravité sans précédent dans le phénomène (pourtant identifié de longue date) de corruption institutionnelle et systémique des politiques de santé. »

Jean-Dominique Michel, Anthropologiques, 7 nov 2022

 

Lettre envoyée au Ministre Duclos et à Theresa Tam, de la part du CCCA pour l’arrêt des injections d’ARNm C19.

Inspirée de la lettre ouverte d’un collectif de 19 médecins et spécialistes de Réinfo covid Québec à l’attention du CMQ et des autorités de santé, un groupe de citoyens vient de faire parvenir à Jean-Yves Duclos, ministre de la Santé, et Theresa Tam, Administrateur en chef de la santé publique du Canada, une Requête sur le consentement éclairé et les risques de sécurité des vaccins génétiques COVID-19.

Lettre absolument à lire ci-jointe (Traduction française).

 

 « « Corrélation n’est pas causalité », quand cela arrange… »

Par Pierre Chaillot (Insee) et Laurent Mucchielli (CNRS)

Résumé : Alors que la « campagne vaccinale automnale » décidée par le gouvernement a démarré en octobre 2022, on voit fleurir les articles de presse affirmant que le covid-19 est toujours aussi mortel mais qu’heureusement les vaccins sont là pour « sauver des vies ». Lorsque des chercheurs indépendants mettent en évidence des effets indésirables graves suite à la vaccination, ils reçoivent une fin de non-recevoir sur le mode « corrélation n’est pas causalité ». En revanche, lorsqu’il s’agit de « prouver » que les vaccins anti-covid « sauvent des vies », alors là on peut y aller tranquillement.

Démonstration à partir d’articles emphatiques du Figaro et du Monde relayant une étude parue dans Nature Human Behaviour et qui, en réalité, ne prouve rien du tout.

 

Refus de recevoir du sang d’une personne vaccinée : Entretien avec le Dr M. Champagne

Est-ce dangereux de recevoir du sang d’une personne vaccinée contre la COVID-19 ? Des médecins albertains voient une tendance chez des patients qui refusent tous dons de sang de personnes vaccinées contre la COVID-19. Alec Castonguay décortique cette croyance avec le président de l’association des médecins hématologues et oncologues du Québec, le Dr Martin Champagne.

Radio-Canada, OhDio, 14 oct 2022

 

France : des soignants suspendus discrètement convoqués par la police

Le courrier des stratèges rapporte, qu’un peu partout en France, la police convoque, de façon perlée, des soignants suspendus pour les interroger et récolter des renseignements sur leur situation et sur leur position en matière de vaccin et de vaccination. Cette pratique proche de l’intimidation est généralement accompagnée de la forte suggestion de venir sans avocat… Dans le climat de répression qui s’abat actuellement sur la résistance, il devient évident que le pouvoir tente un dernière écrémage avant la purge du dernier carré.

On signale même des cas où les policiers ont interrogé les soignants suspendus sur leurs opinions politiques.

 

Angleterre. Sir Christopher Chope, député britannique, propose une enquête sur la sécurité des vaccins Covid19 pour défendre les victimes

Christopher Chope, membre du Parti conservateur et député de la circonscription de Christchurch depuis 1997, préside le groupe parlementaire des Conservateurs européens à l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Il a saisi les rapports des coroners à travers le pays. Ces coroners ont constaté que les décès ont été causé directement par les vaccins C19.

« L’institut Ehrlich, organisme de réglementation allemand responsable de la sécurité des vaccins, a confirmé le 20 juillet 2022 qu’une personne vaccinée sur mille était touchée par un effet indésirable grave. Et qu’une personne vaccinée sur 5 000 souffrait de problèmes cardiaques. L’institut Ehrlich utilise la définition de l’OMS d’un événement indésirable grave qui est une hospitalisation qui met la vie en danger. 

Le nombre de ces effets indésirables graves de ces vaccins est bien supérieur à ceux des vaccins contre la grippe porcine de 1976 (crises cardiaques, syndrome de Guylain-Barré et 53 décès). Pour rappel, ces vaccinations de masse avaient été interrompu par le président des États-Unis Gérald Ford en décembre de la même année. Ce gouvernement avait agi sur beaucoup moins d’événements indésirables qu’avec ces vaccins covid19. À l’heure actuel, ce gouvernement semble nier les risques de ces vaccins ARNm et répète qu’ils sont « sûr et efficace ». Mais ils ne sont pas parfaitement sûrs. S’ils sont efficaces, ce serait un autre débat.

La lettre d’accompagnement du NHS pour la vaccination covid19 ne fait aucune référence aux risques associés au vaccin. Or les effets indésirables comme les myocardites et les péricardites touchent principalement les jeunes hommes quelques jours après la vaccination. Même s’ils se rétablissent, ces hommes seront handicapés jusqu’à 60 ans ou plus, et ne pouront obtenir un dédommagement de 120 000 livres qu’après 60 ans. Mais avant cela, il n’y a pas d’aide financière pour eux, et plus inquiétant, pour plusieurs d’entre eux, il n’y a pas d’aide médicale spécifique.

À la suite du désengagement du gouvernement de les soigner, les victimes sont de plus en plus pris en charge par leurs proches, leurs voisins et leurs amis. Et par conséquent, nous constatons un taux beaucoup plus faible de candidatures pour la vaccination. Les gens deviennent de plus en plus hésitants face aux vaccins. De plus en plus, de médecins et de scientifiques demandent l’arrêt immédiat du programme de vaccination car les risques l’emportent sur les bénéfices. Ces vaccins covid19 à ARNm sont qualitativement très différents des vaccins traditionnels. Il y a un abus de langage d’utilisé le terme vaccin avec les injections à ARNm. Et les rappels n’ont pas été testés sur des humains mais seulement sur des souris. Par conséquent, les humains sont utilisés comme des cobayes pour l’expérimentation »

 

Très beau témoignage de Monique, 95 ans

« Ce moment me rappelle la guerre de 1940 et même plus violente parce qu’on nous prend nos libertés [..] Voilà ce que je veux dire. Bien sûr la suite je ne la verrais pas » Extrait du film documentaire : Retrouvons nous – Entre ombres et lumière.

 

Risque de crise d’épilepsie avec le vaccin ROR pour votre enfant?

D’après les Physicians for informed consent, toutes les 2 h, un autre enfant souffre d’une crise d’épilepsie à cause du vaccin ROR.

Chaque année, environ 5 700 enfants américains sont victimes de crises d’épilepsie à cause du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (ROR). Cette constatation découle des résultats de l’étude de sécurité la plus statistiquement puissante jamais réalisée pour mesurer l’association entre la vaccination ROR et les crises fébriles. Publiée dans le JAMA en 2004, l’étude a évalué plus d’un demi-million d’enfants, vaccinés et non vaccinés, provenant d’une population danoise sur laquelle on s’appuie dans le monde entier pour examiner la sécurité des vaccins.

 

Crises fébriles et épilepsie

Le risque de crises d’épilepsie liées au vaccin ROR est cinq fois plus élevé que celui des crises liées à l’infection par la rougeole, et une part importante des crises liées au vaccin ROR peut entraîner des lésions permanentes. Par exemple, une étude danoise portant sur 1,54 million de personnes, publiée dans l’American Journal of Epidemiology en 2007, a examiné l’association entre les crises fébriles et l’épilepsie, un trouble cérébral chronique qui entraîne des crises récurrentes. L’étude a révélé que 5 % des crises fébriles peuvent entraîner une épilepsie. Par conséquent, environ 300 crises dues au vaccin ROR (5 % des 5 700 crises) peuvent entraîner une épilepsie chaque année.

Le risque de crise épileptique augmente chez les frères et sœurs d’enfants ayant des antécédents de crises fébriles et chez les enfants ayant des antécédents personnels de crises fébriles, pour atteindre respectivement 1 sur 250 et 1 sur 50.

 

Aux États-Unis, la rougeole est généralement une infection virale bénigne de courte durée ; 99,99 % des cas de rougeole se rétablissent complètement. Jusqu’à présent, il n’a pas été prouvé que le vaccin ROR est plus sûr que la rougeole. Il est important que les médecins et les parents évaluent objectivement les risques de la rougeole par rapport aux risques et aux limites du vaccin ROR, afin que les familles puissent prendre des décisions de vaccination éclairées et fondées sur des preuves.

 

Résumé des faits et chiffres clés

  • Les crises provoquées par le vaccin ROR sont 5 fois plus fréquentes que les crises liées à la rougeole.
  • Les crises peuvent survenir jusqu’à deux semaines après la première dose du vaccin ROR.
  • Chaque année, 5 700 enfants américains sont victimes de crises liées au vaccin ROR.
  • 5 % des cas de convulsions fébriles peuvent développer une épilepsie, un trouble chronique du cerveau.

 

Autisme et vaccination : la fin d’un mythe

Et s’il suffisait de lire les études scientifiques de ces 15 dernières années pour comprendre les causes de l’autisme ? Les troubles autistiques engendrent souvent de la souffrance, de la pauvreté et des inégalités, et ce dans une partie grandissante de la population. Les enfants lourdement handicapés par ce fléau sont les moins visibles mais existent bel et bien. Aux USA la flambée des coûts de l’autisme deviendra dès 2025 la première dépense du budget (devant l’armée) avec 1000 milliards de dollars. Et pourtant, malgré ces implications gigantesques à court mais surtout à long terme, l’évolution des connaissances scientifiques dans le domaine ne semble intéresser personne…

Les chercheurs savent ce qui provoque l’autisme… pas vous ?

Ce que le grand public ne sait pas, probablement par manque de diffusion de la connaissance, c’est que ces cytokines jouent également un rôle fondamental dans le développement du cerveau. Elles sont nécessaires à chaque étape de sa maturation. En clair, les mêmes molécules conditionnent le système immunitaire et le système nerveux.

Le dogme actuel considère que le système nerveux (dont le cerveau) et le système immunitaire sont complètement séparés. Cette croyance est aujourd’hui obsolète, nous savons qu’ils sont interconnectés. Les spécialistes parlent de système neuro-immun. Activer le système immunitaire n’est donc pas si anodin, surtout à certains stades sensibles du développement. Cela peut avoir des répercussions bien plus importantes qu’on ne le croit.

 

Narcolepsie

Le Pandemrix est un produit de la société pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK). Et L’ADJUVANT ASO3 UTILISÉ DANS LE PANDEMRIX EST CELUI QUI A PROVOQUÉ LA NARCOLEPSIE.
Miller E, et al. Risk of narcolepsy in children and young people receiving AS03 adjuvanted pandemic A/H1N1 2009 influenza vaccine: retrospective analysis BMJ 2013; 346 :f794 doi:10.1136/bmj.f794

 

Phénomènes étranges

  • Le Dr Shimon Yanowitz est inquiet car il a découvert dans son propre sang les mêmes nano-structures auto-assemblées qu’il avait observées dans les injections alors qu’il n’est lui-même pas injecté !
  • Après l’injection, lecture d’un numéro : est-il vraiment possible que les vaccinés émettent un signal blutooth? Installez l’appli Bluetooth scanner (car le système Bluetooth de votre cell est bridé ce qui empêche de constater le phénomène), mettez-là en marche dans un champs… puis à l’épicerie, dans une gare, ou autre. Vous aurez des surprises!

 

La Vaccinolâtrie

Interview GENIALE du Dr Typhaine Pinsolle. En 2 min, elle résume TOUT le scandale incroyable de ces injections expérimentales inefficaces et dangereuses !

TOUS DOIVENT ECOUTER CE QU’ELLE DIT !

C’est clair, non ?

 

VACCIN COVID-19 : 21 faits qui remettent en question l’efficacité des injections anti-COVID-19

Tout le monde reconnait maintenant que la vaccination ne réduit pas la transmission (sauf Lagacé, Doc Tik Tok et la presse subventionnée). Voici une liste de faits recensés par Physicians for Informed Consent qui le démontrent :

Fait 1 : Dans un hôpital en Finlande, toutes les transmissions entre les patients et le personnel se sont produites entre des personnes masquées et vaccinées.

Fait 2 : Une étude des CDC en juillet 2021 montre que lors d’une éclosion, 74 % des cas étaient entièrement vaccinés.

(Voir la suite sur PIC)

 

Les arguments contre la vaccination COVID-19 d’enfants en bonne santé, pour les raisons suivantes :

  • Faible risque de morbidité et de mortalité due au COVID-19 pour les enfants
  • Risques connus et profil inconnu d’innocuité des vaccins à long terme pour les enfants
  • Les enfants ne sont pas un moteur majeur de la transmission
  • Les groupes vulnérables peuvent se protéger et les vaccins actuels ne fournissent pas d’immunité stérilisante
  • Preuves contre l’évolution de variantes plus nuisibles
  • On ne peut pas supposer la rentabilité de l’éradication plutôt que le contrôle

Compte tenu du bénéfice direct minime de la vaccination contre le COVID-19 pour les enfants en bonne santé, de la possibilité que des risques rares l’emportent sur ces bénéfices et sapent la confiance dans le vaccin, des preuves substantielles que la vaccination contre le COVID-19 confère une protection adéquate aux groupes à risque, que les enfants en bonne santé soient vaccinés ou non, et que les vaccins actuels ne procurent pas d’immunité stérilisante, et étant donné que l’éradication du virus n’est ni faisable ni une priorité pour la santé mondiale, nous soutenons que la vaccination systématique contre le COVID-19 des enfants en bonne santé est actuellement injustifiée sur le plan éthique.

Kraaijeveld SR, et al. Against COVID-19 vaccination of healthy childrenBioethics. 2022 Jul;36(6):687-698. doi: 10.1111/bioe.13015. Epub 2022 Mar 25. PMID: 35332941; PMCID: PMC9111802.

 

VidPrevtyn® Beta, le vaccin de rappel nouvelle génération contre la COVID-19 de Sanofi et GSK, approuvé par la Commission européenne

Communiqué de Sanofi 10 nov 2022.

VidPrevtyn Beta est un vaccin nouvelle génération monovalent à protéine recombinante contre la COVID-19, développé par Sanofi et formulé avec l’antigène du variant Bêta et l’adjuvant (ASO3) à usage pandémique de GSK (SARS-CoV-2 prefusion Spike delta TM protein, recombinant (B.1.351 strain)). Son développement fait appel à la même technologie à base de protéines recombinantes que celle utilisée pour la fabrication des vaccins contre la grippe saisonnière approuvés de Sanofi. La formulation des vaccins anti-COVID-19 de nouvelle génération repose sur une approche « adaptée » faisant appel à une souche différente de la souche originelle du SARS-CoV-2 (souche D614).

 

Effets indésirables des injections anti-covid-19

Dr Martin Blachier à CNEWS:

« Comme pour les myocardites il y a une imputabilité confirmée et prouvée entre le vaccin Covid-19 et les troubles menstruels. ces troubles peuvent durer jusqu’à 6 mois, c’est probablement assez fréquent.. on ne peut être certain à 100% qu’il n’y ait aucun impact sur la fertilité »

Mais pourquoi s’arrêter en si bon chemin? Il continue en affirmant avoir toujours prévenu des effets secondaires. On retrouve donc notre bon Martin à son meilleur qui nous explique que rien n’a été caché et qu’on a toujours dit qu’il y avait des effets secondaires!

Le nombre de victimes? Allez… « une dizaine »!
Bon, allez d’accord, « ils ne sont pas tous rapportés… et c’est vrai! Il y a peut-être un rapport de 1 à 10 ou 1 à 100 ».

Attention quand même parce que si on multiplie par 100, on arrive quand même à 1000. Ce à quoi il faut ajouter tous les effets graves qu’il liste lui même (myocardites, péricardites, paralysies faciales) et tous les autres parmi la liste de 9 pages de Pfizer!

Du même coup, il affirme qu’il y a une myocardite toutes les 7500 injections chez les jeunes.
Mais c’est correct répéte-t-il, car on l’a toujours dit.

On vous l’avait vraiment dit?

 

La COVID-19 provoque-t-elle des myocardites?

C’est la grande question puisque face à l’épidémie de myocardites et la hausse inexpliquée de la mortalité, les médias expliquent que cela est du à la COVID-19, au changement climatique ou à toutes sortes d’autres raisons (s’endormir en regardant la télé, jardiner, prendre une douche froide, etc.). Jean-François Cliche, le « fact-checker » du Soleil, embarque totalement dans ce discours.

Malheureusement pour lui et ses confrères, une étude israélienne à grande échelle portant sur 196 992 adultes non vaccinés après une infection par la COVID-19, a montré que contrairement aux vaccins COVID-19 « l’infection par Covid n’était associée ni à une myocardite ni à une péricardite. »

Les auteurs concluent : L’infection post-COVID-19 n’était associée ni à une myocardite (aHR 1,08 ; IC à 95 % de 0,45 à 2,556) ni à une péricardite (aHR 0,53 ; IC à 95 % de 0,25 à 1,13). Nous n’avons pas observé d’incidence accrue de péricardite ni de myocardite chez les patients adultes qui se remettaient d’une infection à COVID-19.

Tuvali O, et al. The Incidence of Myocarditis and Pericarditis in Post COVID-19 Unvaccinated Patients-A Large Population-Based Study. J Clin Med. 2022 Apr 15;11(8):2219. doi: 10.3390/jcm11082219. PMID: 35456309; PMCID: PMC9025013.

 

Effets secondaires des vaccins COVID-19 à ARNm et d’EVUSHELD

Dans le cadre de la prévention et du traitement de la COVID-19, les informations suivantes ont été publiées récemment :

  • au niveau européen : le comité européen de pharmacovigilance (PRAC) recommande d’ajouter les saignements menstruels abondants dans la liste des effets indésirables associés aux vaccins ARN messagers COMIRNATY et SPIKEVAX. Après analyse des données, le PRAC estime qu’il existe « une possibilité raisonnable » de lien entre ces vaccins et la survenue de règles abondantes ;
  • en France : tenant compte des cas notifiés d’événements cardiovasculaires et thromboemboliques, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) recommande d’utiliser avec prudence la bithérapie d’anticorps monoclonaux EVUSHELD (tixagévimab/cilgavimab) chez des patients à haut risque cardiovasculaire.

(Vidal.fr)

 

Les statistiques, la mort, et leurs manipulations.

  • Au Canada, aux États-Unis et dans la plupart des pays européens, il n’y a pas eu de pathogènes particulièrement dangereux ou mortels en 2020Il n’en est pas eu un qui est venu causer une mortalité excédentaire.
  • Toute la mortalité excédentaire observée s’explique facilement par les mesures qui ont été prises qui ont agressé les populations et les mauvaises décisions de soins durant cette période.
  • Les vaccins Covid19 n’ont sauvés aucune vie
  • De toute évidence, ces vaccins sont toxiques pour les jeunes

CSI n°78 : D. Rancourt 10/11/22

 

Décès pendant le sommeil, excès de mortalité, effets secondaires dans l’armée