Revue de presse de la semaine du 7 mars

Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.

Efficacité du vaccin Pfizer

• L’Observateur (hebdomadaire français grand public) titre le 11 janvier 2022 : « Covid-19. L’OMS reconnaît l’inefficacité des vaccins »
  • « On s’est peut-être fait vacciner pour rien. Selon des experts de l’Organisation mondiale de la Santé, combattre la pandémie de Covid-19 à coups de doses de rappel des vaccins actuels n’est pas une stratégie viable. Selon eux, il faut développer des vaccins qui préviennent mieux la transmission. »
  • Non, vous ne rêvez pas. Voici une copie d’écran :

• • Même The Guardian en parle.
  • Dans son communiqué du 11 janvier 2022, l’OMS déclare qu’ « il est peu probable qu’une stratégie de vaccination basée sur des doses de rappel répétées de la composition initiale du vaccin soit appropriée ou durable. » À l’avenir, l’OMS « considère que les vaccins COVID-19 qui ont un impact élevé sur la prévention de l’infection et de la transmission, en plus de la prévention des maladies graves et des décès, sont nécessaires et devraient être mis au point ». L’OMS reconnait donc que jusqu’à présent les vaccins COVI-19 ne prévenaient pas de l’infection, ni de la transmission.
• Question : Pourquoi donc encore exiger un passeport vaccinal?
  • L’Angleterre, l’a bien compris, le 1^er mars 2022, elle renonce à mettre en place l’obligation vaccinale pour les soignants du secteur public.

• Un article scientifique (preprint) vient d’observer que chez les enfants de 5 à 11 ans, le vaccin a perdu son efficacité après 28 jours contre Omicron.
  • « For children 5-11, vaccine effectiveness (VE) against cases declined from 65% (95% CI: 62%, 68%) to 12% (95% CI: 8%, 16%) by 28-34 days”.
  • Si l’on examine la figure 2 de cette publication, on observe que six semaines après avoir été « entièrement vaccinés », les enfants de moins de 12 ans sont 40 % PLUS susceptibles d’être infectés par le Covid que ceux qui n’ont jamais reçu de vaccins contre l’ARNm. Les vaccins d’ARNm fournissent une certaine protection pendant les deux premières semaines de « vaccination complète ». Mais elle diminue rapidement, devient négatif à la cinquième semaine, et plus fortement négatif à la sixième (voir l’astérix). L’efficacité « négative » du vaccin signifie que les personnes vaccinées sont plus susceptibles d’être infectées.

Légendes : La barre bleue représente les rapports de taux d’incidence (IRR) qui sont calculés en divisant le taux de personnes non vaccinées par le taux de personnes vaccinées pour les 5 à 11 ans. La barre rouge est l’IRR pour les 12 à 17 ans. VE = efficacité vaccinale

• • Ce sont des résultats désastreux pour un vaccin. Malgré tout les auteurs continuent à insister : « Ces résultats soulignent la nécessité potentielle d’étudier d’autres dosages vaccinaux pour les enfants et (comme la vaccination est inefficace, ils  insistent sur) l’importance continue des protections à plusieurs niveaux, y compris le port du masque, pour prévenir l’infection et la transmission! ».
• Une étude israélienne (preprint), type cas-témoin rétrospective portant sur plus de 389 000 triples vaccinés, montre que la protection supplémentaire conférée par la 3^ème dose contre l’infection passe de 53,4% à 16,5% en 3 mois (contre Omicron). Le titre même de l’article l’affirme : Waning Effectiveness of the Third Dose of the BNT162b2 mRNA COVID-19 Vaccine ».

Une chute impressionnante

Effets indésirables des injections anti-covid

1/ Le directeur de l’assurance maladie allemande, Schöfbeck, qui avait révélé les chiffres des effets secondaires des vaccins est licencié sans préavis!

• Dans une lettre adressée au président du PEI Paul Cichutek, Schöfbeck avait qualifié l’évaluation d’« signal d’alarme important qui doit impérativement être pris en compte lors de l’utilisation ultérieure des vaccins ».

2/ Le professeur Mark Skidmore a mis en place une enquête en ligne très critique et nécessaire sur la population américaine afin d’estimer le nombre de décès et de blessures dus aux inoculations du Covid-19. Le 17 mars 2022, Skidmore présentera son étude au Doctors for Covid Ethics Symposium 3. Son étude approfondie complète de 93 pages peut être téléchargée ici. Son questionnaire se retrouve à la pg 46 de son document.

Quelques-unes des principales conclusions :

• • L’âge moyen des décès après avoir reçu les injections covid-19 est de 48 ans, sur la base de 55 décès signalés.
  • 25% des répondants ont souffert de la maladie du Covid-19.
  • 35 % connaissaient quelqu’un qui avait des problèmes de santé importants dus à la maladie à Covid-19.
  • 24 % connaissaient quelqu’un qui a eu des problèmes de santé importants à cause de l’inoculation du vaccin anti-Covid-19
  • 8 % connaissaient une personne décédée après l’inoculation (55 personnes)

3/ Analyse de la toxicité des injections expérimentales aux USA (article scientifique ici) par le professeur Denis Rancourt, PhD et Joseph Hickey, PhD. (vidéo en français ici pour mieux comprendre)

Voici quelques une de leurs conclusions :

1. Ces injections expérimentales sont vraiment toxiques (Janssen est 4x plus toxique que Pfizer et 1,5x plus toxique que Moderna)
2. Le nombre de morts par dose augmente exponentiellement avec l’âge. Le risque de mortalité suite aux injections augmente avec l’âge.
3. Il n’y a pas de preuve de toxicité différente selon les lots, mais la variabilité des effets indésirables est plus probablement due à la variabilité de la vulnérabilité à la toxicité en fonction de l’âge des injectés.

Traitement de la COVID-19

• Une étude de cohorte prospective (américaine), publiée dans l’International Journal of Infectious Diseases,  le 28 février 2022 observe que le traitement par l’ivermectine est associé à une diminution de la mortalité chez les patients atteints de COVID-19.
  • Des patients atteints de COVID-19 ont été traités soit avec l’ivermectine (1 072) soit avec le remdésivir (40 536).
  • Il s’agit de la plus grand étude d’association de patients atteints de la COVID-19, de mortalité et d’ivermectine.
  • Résultat : L’ivermectine a été associée à une réduction de la mortalité 70% par rapport au remdesivir.
• Il est toutefois étonnant que Santé Canada affirme toujours que l’ivermectine n’est pas homologuée pour la prévention ni pour le traitement de la COVID-19 et peut entraîner de graves problèmes de santé. Il est réservé à l’usage vétérinaire.
• Que disent l’ensemble des études? Que l’ivermectine est très efficace pour soigner la COVID-19 (voir https://c19ivermectin.com )

Conclusion : Le fait de ne pas soigner rapidement les gens souffrant de la COVID-19 avec l’ivermectine est à l’origine de centaines de milliers de morts notamment dans plusieurs pays européens et au Canada.

Comment l’ivermectine a été écartée? Lettre à Andrew Hill.

Une vidéo bouleversante de la Dr Tess Lawrie montre la division entre les scientifiques intègres et ceux qui ne le sont pas. Nous y découvrons le désarroi ressenti par certains scientifiques devant le mutisme et la désinformation de leurs collègues. À partager à tous les scientifiques qui gardent le silence alors qu’ils ont des informations cruciales à diffuser.

Ce fil résume toute cette (longue) affaire ici : https://typefully.com/GabinJean3/gDnyoKt

Fin de la pandémie en Angleterre pour les non-vaccinés?

• Au Royaume-Uni, la pandémie est pratiquement finie pour les non vaccinés. C’est ce que montre le dernier rapport de l’UKHSA (UK Health Security Agency) pour la semaine 9. 
• La COVID-19 fait 394 décès chez les non vaccinés et 3527 décès chez les vaccinés; presque 10 fois plus!

Le SARS-CoV-2

• Selon une étude chinoise, ce coronavirus provoquerait des dommages testiculaires chez le hamster Syrien qui, heureusement, peuvent être prévenus par la vaccination.  Les auteurs ont observés :
  • Une atrophie testiculaire asymétrique avec une inflammation et une nécrose des cellules de Leydig et de Sertoli (l’histopathologie montre même des hémorragies et une dégénérescence des tubules séminifères)
  • Une diminution importante du nombre de spermatozoïdes
  • Une diminution persistante de testostérone sérique et de l’inhibine B
  • Ce n’est pas nouveau. D’autres études ont en effet montré que la COVID-19 était associée à des dysfonctions sexuelles chez les hommes.
• Attention cependant à l’injection d’ARNm exprimant la protéine Spike: En effet, une étude chinoise où des hommes, qui avaient eu le SARS-CoV-2, ont été autopsiés. Les chercheurs ont trouvé des testicules très abîmés sans pour autant trouver de virus. Leur hypothèse est que ces remaniements pathologiques observés étaient potentiellement lié à la protéine Spike.

Big Pharma et les médecins influenceurs

Révélation explosive : en 5 ans, Big Pharma a offert 818 millions d’euros à des médecins influenceurs en France

Enfin une décision de justice en faveur des non-vaccinés!

Un juge ontarien en accord avec une mère qui ne veut pas faire vacciner ses enfants contre la COVID. (voir document ci-joint ou ce lien)

Le port du masque inutile en Floride

Le gouverneur Républicain de Floride, DeSantis : « Vous n’êtes pas obligés de porter ces masques. S’il vous plaît, enlevez-les. Honnêtement, ça ne fait rien du tout. Nous devons arrêter avec ce théâtre de Covid. Donc si vous voulez le porter, très bien, mais c’est ridicule.«