Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.

 

La peur est de retour

France et Canada: Le nombre de contamination avec l’Omicron BA.2 augmente. Cependant le nombre d’hospitalisations continue de diminuer.

 

Les mesures sanitaires étaient-elles justifiées?

L’approche privilégiée au Québec pour faire respecter les mesures sanitaires instaurées pour contrôler la transmission du virus de la COVID-19 a été de miser sur la répression policière et l’utilisation du droit pénal. Ceci découle d’un choix politique et non d’une obligation inévitable pour “aplanir la courbe”. 
L’approche punitive et le discours de répression opposant la “minorité” de personnes récalcitrantes aux mesures à la “majorité” de personnes qui les respectent ont eu pour effet de stigmatiser une partie de la population et de créer une division importante, plutôt que de renforcer la solidarité.

 

La tentation du Covid Zéro

En Chine :

  • Des enfants, à partir de 2 ans, sont emmenés de force dans des camps de quarantaine Covid, seuls ! Les derniers regards de leurs parents avant qu’ils ne soient mis en quarantaine pendant 21 jours.
  • Des millions de Chinois vivent maintenant dans des camps de quarantaine contre le covid ! (en date du 2022/1/9)

 

Financement de la presse par les gouvernements

Aux États-Unis, une demande en vertu de la loi sur la liberté de l’information déposée par Del Bigtree et Robert F. Kennedy Jr de Children’s Health Defense a révélé que le département de la santé et des services sociaux de Biden a payé 1 milliard de dollars pour « influencer » les principaux organes de presse afin de pousser à la vaccination.

Voici les grands réseaux d’information qui ont été acheté par l’administration Biden : ABC, CBS, NBC, Fox News, CNN, MSNBC, New York Post, Los Angeles Times, Washington Post, BuzzFeed, Newsmax, etc.

C’est la même chose au Canada ou les différents paliers de gouvernement ont versé des centaines de millions en subventions, aides directes et achats de publicité aux principaux médias du pays. Étonnamment, les médias sont très peu diserts à ce sujet. Il est impossible de savoir quels médias ont reçu quel montant, ce qui est inadmissible en « démocratie ».

 

La vaccination contre la COVID-19 n’est pas terminée

Albert Bourla, le PDG de Pfizer, affirmait récemment :

Le régime de deux doses initiales plus un rappel n’est pas en mesure de protéger contre les variantes et diminue trop rapidement en force, ce qui rend les injections supplémentaires inévitables. En ce moment, la protection que vous obtenez à partir de la 3ème dose (booster) est en fait assez bonne pour prévenir les hospitalisations et les décès. Mais elle n’est pas si bonne contre les infections et ne dure pas très longtemps.

Il reconnait donc que son vaccin n’est pas très efficace et surtout qu’il faut se « re-booster » régulièrement car la protection ne dure pas très longtemps ». Il ajoute :

Ce que nous essayons de faire et nous travaillons avec beaucoup de diligence en ce moment, c’est de fabriquer non seulement un vaccin qui protégera contre toutes les variantes, y compris Omicron, mais aussi quelque chose qui peut protéger pendant au moins un an

Question : Comment fait-il pour connaitre les futurs variants? Voit-il dans l’avenir?

Attention, avec la « 6e vague », préparez-vous pour votre 4e dose :

 

France : Une quatrième dose de vaccin annoncée sans aucune étude achevée

Pour l’instant, cette 4ème dose est proposée pour les 80 ans et plus. Et ce n’est pas fini!
La 4ème dose du vaccin Pfizer/BioNTech est appelée 2ème rappel. Pfizer/BioNTech demande une autorisation d’une 4ème dose pour les plus de 65 ans.

 

Un nouveau vaccin COVID-19 vaporisé par le nez

 

Effets indésirables des vaccins

À lire : « Elles n’ont plus de règles » après le vaccin covid : « Où est mon cycle » libère la parole des femmes sur les effets secondaires

 

Efficacité des vaccins

Examinons les faits :
À partir de sources officielles, il ressort la synthèse suivante :

  • Moyenne des 31 pays, taux de vaccination 49% : 100 décès COVID pour 100 000 habitants
  • 11 pays, taux de vaccination inférieur à 21% : 9 décès COVID pour 100 000 habitants
  • 1 pays, l’Inde, taux de vaccination de 46,6% : 35 décès COVID pour 100 000 habitants
  • 10 pays, taux de vaccination de 21% à 60% : 160 décès COVID pour 100 000 habitants
  • 9 pays, taux de vaccination supérieur à 60% : 201 décès COVID pour 100 000 habitants.

Le constat est clair : « Tous vaccinés, tous protégés » est une contrevérité. En fait, il semblerait que plus on vaccine et plus on décède…

 

L’efficacité de la vaccination avec les ARNm anti-COVID en une figure

  • Les vaccinations de masse avec l’ARNm de Pfizer ont commencé en Israël le 19 décembre 2020. Presque tous les adultes israéliens ont reçu deux doses et un rappel. Beaucoup ont reçu une quatrième injection. Voici un graphique des décès dus à la Covid-19 en Israël au cours des deux dernières années. Le jour du début de la vaccinations est mis en évidence.

  • Ce graphique montre l’impact pour le moins « limité » de l’efficacité de la vaccination.
  • Les médias et les autorités de santé publique n’ont que deux choix : admettre la vérité de leur échec, ou continuer à nier l’évidence. Toute la censure dans le monde ne peut cacher une réalité aussi évidente.

 

Mesures sanitaires : plus de torts que de bien

Des chercheurs des Universités de John Hopkins, de Harvard, d’Oxford, de Washington, de Toronto et de Dalhousie affirment, le 1er février 2022 : « Les obligations vaccinales, les passeports sanitaires ou vaccinaux et les confinements causent plus de mal que de bien »

Leurs conclusions :

Nous soutenons que les politiques actuelles de vaccination obligatoire à l’échelle de la population sont scientifiquement discutables, éthiquement problématiques et malavisées. De telles politiques peuvent avoir des effets néfastes à long terme sur l’adoption de futures mesures de santé publique, y compris les vaccins COVID-19 eux-mêmes ainsi que les vaccinations de routine.

Restreindre l’accès des personnes au travail, à l’éducation, aux transports publics et à la vie sociale en fonction de leur statut vaccinal à l’égard du COVID-19 porte atteinte aux droits de l’homme, favorise la stigmatisation et la polarisation sociale, et a un impact négatif sur la santé et le bien-être.

L’obligation de vaccination est l’une des interventions les plus puissantes en matière de santé publique et devrait être utilisée avec parcimonie et prudence afin de préserver les normes éthiques et la confiance dans les institutions scientifiques.

Nous soutenons que les politiques actuelles de vaccination contre le COVID-19 devraient être réévaluées à la lumière des conséquences négatives qui pourraient l’emporter sur les avantages. Le recours à des stratégies d’autonomisation fondées sur la confiance et la consultation publique représente une approche plus durable pour protéger les personnes les plus exposées au risque de morbidité et de mortalité lié au COVID-19, ainsi que la santé et le bien-être du public.

Nos hommes politiques nous redisent ad nauseam, qu’ils écoutent la science. Espérons qu’ils se souviendront de cette étude en cas de « 6e vague » ou autre.

 

Ivermectine : l’identité de l’auteur fantôme de l’étude d’Andrew Hill dévoilée

  • Rappel : le chercheur Andrew Hill avait reçu le mandat de l’OMS de tester l’ivermectine comme possible traitement contre la COVID-19;
  • D’abord très enthousiaste, Andrew Hill s’est peu à peu montré évasif… avant de rendre un avis défavorable dans son rapport;
  • On remarquera par la suite que contrairement à ce qu’indique le rapport, Andrew Hill n’en est pas le seul auteur : très rapidement on apprendra que que le Dr Andrew Owen en a rédigé des parties.
  • On connait maintenant l’identité d’un deuxième auteur fantôme de l’étude :
    la chercheuse Dominique Costagliola.
  • Cette affaire, maintenant connue sous le nom de UnitaidGate n’en est sans doute pas à son dernier rebondissement, à suivre!

 

Prix de l’énergie et Big Pharma : même combat?

Déclaration de Mislav Kolakusic, député européen slovaque, ancien juge, militant indépendant pour l’État de droit et luttant contre la corruption :

Les prix de l’énergie ne correspondent rarement, pour ne pas dire jamais à leurs coûts de production et à leurs coûts de distribution. Ils dépendent principalement des problématiques géopolitiques et des guerres. Les prix de l’essence et du diesel étaient quasiment identiques lorsque le baril était à 120$ et lorsqu’il était à 40$. Les guerres permettent aux grands groupes industriels pétroliers de générer des profits astronomiques. Voilà ce qui arrive aujourd’hui. Tout comme une […] épidémie génère des profits colossaux aux industries pharmaceutiques, les guerres apportent d’énormes profits aux industries de l’énergie. Voilà ce qu’il en est aujourd’hui, et voilà ce qu’il en sera pour toujours. Car les immenses profits sont le vrai but des guerres.

 

« Les guerres sont mauvaises »

Exceptionnelle déclaration de la député européenne irlandaise CLARE DALY :

Toutes les guerres sont mauvaises et toutes les victimes méritent d’être soutenues [qu’elles soient en Europe ou ailleurs]. Tant que nous ne serons pas sur la même longueur d’ondes [occidentaux et peuples du monde (ndla)], nous n’aurons aucune crédibilité.