Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons….

 

Sommet mondial sur la COVID-19

17 000 scientifiques appellent à mettre fin à l’état d’urgence sanitaire

Lors d’un sommet mondial sur la COVID-19, 17 000 médecins et scientifiques ont fait une déclaration commune le 11 mai par la voix de leurs représentants. Appelant à mettre un terme à l’état d’urgence sanitaire enclenché au début de la crise du Covid-19, ils accusent les grandes sociétés pharmaceutiques, les gouvernements, les agences de santé publique et les médias grand public d’avoir, par leurs actions, causé la mort de plusieurs centaines de milliers de personnes.

 

Covid 19: AstraZeneca, Pfizer, Moderna… Vers un abonnement vaccinal pour tous ?

L’Agence européenne des médicaments (EMA) a donné son autorisation jeudi à l’ouverture d’une troisième dose du vaccin anti-Covid Vaxzevria, fabriqué par le laboratoire pharmaceutique britannique AstraZeneca, pour les adultes dans l’Union européenne.

De son côté, le géant Pfizer a déclaré lundi que son vaccin est efficace avec trois doses pour les enfants âgés de 6 mois à 5 ans. Seulement quelques heures après cette annonce, l’Agence américaine des médicaments (FDA), dont les décisions font souvent référence dans le monde, a décidé d’une date pour examiner l’autorisation des vaccins anti-Covid des entreprises Pfizer et Moderna pour les jeunes enfants : le 15 juin. 

(à lire dans FranceSoir)

On peut se demander quel est l’intérêt à vouloir continuer de vacciner les enfants… alors qu’ils n’ont rien à craindre de la COVID-19 et que même Bill Gates reconnait (au Forum économique mondial de Davos) qu’ils ne protègent pas de la contamination.

Gates va même jusqu’à remettre en cause l’utilité des passeports vaccinaux!

 

Faux certificats de vaccination pour les élites

De nombreuses questions demeurent sur les faux certificats de vaccination contre le Covid-19 achetés par des stars, des personnalités sportives et des chefs d’entreprise.

 

Les conséquences imprévues de la politique vaccinale anti-COVID-19

Le British Medical Journal se pose la question de savoir pourquoi les obligations vaccinales, les passeports et les restrictions peuvent causer plus de mal que de bien.

Les auteurs concluent que

les politiques actuelles en matière de vaccins obligatoires sont scientifiquement discutables et sont susceptibles de causer plus de dommages à la société que de bien. Restreindre l’accès des gens au travail, à l’éducation, aux transports publics et à la vie sociale sur la base du statut vaccinal COVID-19 empiète sur les droits de l’homme, favorise la stigmatisation et la polarisation sociale, et nuit à la santé et au bien-être. Les politiques actuelles peuvent conduire à un élargissement des inégalités sanitaires et économiques, à des impacts néfastes à long terme sur la confiance dans le gouvernement et les institutions scientifiques, et à réduire l’adoption de futures mesures de santé publique, y compris les vaccins COVID-19 ainsi que les vaccinations systématiques.

 

Syndrome d’immunodéficience acquise chez les triples vaccinés contre la COVID-19?

Cette étude américaine, la plus importante à ce jour, montre que les vaccins à ARNm nuisent à l’immunité à long terme contre la COVID-19 après une infection. Cette étude publiée le 19 avril 2022, a été effectuée par les chercheurs des NIH (National Institutes of Health, USA), des grandes universités américaines, l’Université de Montréal et Moderna.

Cette étude montre que les personnes non vaccinées sont beaucoup plus susceptibles de développer une quantité importante d’anticorps après une infection à la COVID-19 que les personnes ayant reçu des vaccins à ARNm.

Cet essai clinique effectué sur une cohorte de plus de 30 000 personnes, pourrait permettre d’expliquer pourquoi les personnes vaccinées souffrent malgré tout de multiples infections au SARS-CoV-2.

Les chercheurs constatent dans cette étude que beaucoup de personnes vaccinées et infectées ne développent pas d’anticorps neutralisant (anticorps anti-N); alors que les personnes non vaccinées en développent pratiquement toujours.

Les « vaccinophiles » avancent, sans la démontrer, une hypothèse voulant que l’absence d’anti-N chez les vaccinés infectés pourrait être due au fait que les injections d’ARNm permettent de lutter plus rapidement contre l’infection virale et donc de diminuer la charge virale. Les personnes vaccinées seraient ainsi moins gravement infectées et n’auraient donc pas besoins de produire des anti-N.

Cette récente étude démolit complètement cette théorie.

Dans un premier temps, les chercheurs ont examiné le développement d’anti-N chez des personnes ayant participé à l’essai clinique de Moderna et infectées par la COVID-19. Comme ils s’y attendaient, les scientifiques ont constaté que les personnes vaccinées étaient beaucoup moins susceptibles de développer des anticorps neutralisants. Seuls 40 % des personnes vaccinées avaient des anticorps N, contre 93 % des personnes non vaccinées.

Dans un deuxième temps, les chercheurs ont non seulement quantifié les anticorps, mais également la charge viral au moment où les personnes étaient infectées. Les chercheurs ont donc pu comparer des personnes vaccinées et non vaccinées qui avaient la même quantité de virus dans le sang.

Une fois encore, les chercheurs ont constaté que les personnes non vaccinées étaient beaucoup plus susceptibles de développer des anti-N que les personnes vaccinées. Une personne non vaccinée souffrant d’une infection légère avait 71 % de chances de développer une réponse immunitaire incluant ces anticorps. Une personne vaccinée avait environ 15 % de chances.

Ce n’est que dans les cas d’infection grave et de charges virales très élevées que la différence s’est réduite de manière significative ; dans ces cas, toutes les personnes non vaccinées et la plupart des personnes vaccinées avaient des anticorps neutralisants.

Dans la figure ci-dessous, la ligne jaune représente la probabilité qu’une personne non vaccinée développe des anti-N contre le SARS-CoV-2 en fonction de la charge virale. La ligne bleue montre les mêmes probabilités pour une personne ayant reçu une injection d’ARNm.

Une personne non vaccinée a près de 60 % de chances de développer des anticorps, même en cas d’infection extrêmement bénigne; une personne vaccinée doit avoir près de 100 000 fois plus de virus dans le sang pour avoir le même pourcentage de chance.

Les chercheurs ont également tenté d’établir une corrélation entre le développement d’anti-N et la charge virale en fonction du temps. Rappelons la théorie des vaccinophiles : si une personne vaccinée élimine plus rapidement le virus, elle pourrait avoir moins d’anticorps. Or, les chercheurs ont constaté le contraire : c’est le statut vaccinal qui importait et non l’infection.

L’explication la plus probable, pour les chercheurs, est que les vaccins ARNm induisent une réduction de la séroconversion (c’est-à-dire de la production d’anticorps).

Se pourrait-il alors que les vaccins déclenchent une sorte de syndrome d’immunodéficience, communément appelé SIDA? Cela pourrait expliquer pourquoi les triples doses sont très largement surreprésentés parmi les nouvelles hospitalisations (la dernière mise à jour du Tableau de bord de Réinfo Covid Québec montre ainsi une surreprésentation de 15 points des triples doses) :

Total des hospitalisations COVID-19 par catégorie d’âge en fonction du statut vaccinal au Québec : 25 avril au 22 mai 2022 (Semaines 17, 18, 19 et 20)

 

Augmentation soudaine des décès non liés à la COVID-19

Les compagnies d’assurance-vie signalent une augmentation soudaine des décès non liés à la COVID-19.

Selon les propos d’assureurs rapportés par le Wall Street Journal, les compagnies d’assurance-vie américaines ont connu une augmentation de près de 40 % des demandes de prestations de décès au troisième trimestre de 2021 par rapport au niveau de référence prépandémique, la plus forte augmentation de ce type (jusqu’à présent) de la pandémie de coronavirus.

 

 

On vous rassure, le Wall Street Journal ne fait aucun lien avec de possibles effets secondaires de la vaccination. Il émet plutôt l’hypothèse que cette hausse pourrait être due au retard dans les chirurgies ou à l’augmentation de problèmes sociaux dus aux effets de la pandémie.

Les données sont pourtant alarmantes et la seule hypothèse plausible est la campagne de vaccination menée depuis décembre 2020. Si le virus était la véritable cause, les demandes d’indemnisation auraient augmenté beaucoup plus tôt, soit à partir du 2e trimestre de 2020, au début de la pandémie.

 

Vaccins ARNm anti-COVID-19 : une immunité de courte durée!

Les mauvaises nouvelles s’accumulent pour le géant pharmaceutique Pfizer.

D’après une étude clinique publiée par la revue scientifique JAMA Network Open (le 13 mai 2022), l’immunité procurée par le vaccin Pfizer contre le variant Omicron serait de courte durée. Si le vaccin procure une petite efficacité pendant quelques semaines, celle-ci se réduit fortement au bout de trois mois après la deuxième dose et au bout de dix semaines après la troisième, une donnée corroborée par la baisse rapide des anticorps neutralisants spécifiques à Omicron.

Voir également l’article de vulgarisation dans FranceSoir.

 

Une autre étude (publiée dans Nature Medicine du 25 mai 2022) révèle que les vaccins offrent peu de protection contre le COVID long après une infection :

Les résultats suggèrent que la vaccination avant l’infection ne confère qu’une protection partielle dans la phase post-aiguë de la maladie ; par conséquent, le fait de s’y fier comme seule stratégie d’atténuation ne permet pas de réduire de manière optimale les conséquences sanitaires à long terme de l’infection au SRAS-CoV-2

En termes clairs, la stratégie du vaccin seul s’avère être un échec, non seulement pour protéger la société dans son ensemble contre la pandémie de COVID-19 mais aussi contre le COVID long (connu techniquement sous le nom de syndrome COVID-19 post-aigu) ou les formes graves, dont la mort.

Cela amène Benjamin Mateus, du World Socialist Web Site, à affirmer le 28 mai 2022 que :

L’insistance sur une stratégie de vaccination exclusive ne repose pas sur une quelconque logique de soins de santé, mais sur la nécessité de protéger la classe capitaliste de toute intrusion dans son appétit insatiable d’extraire la plus-value de la main-d’œuvre

L’auteur principal de l’étude, le Dr. Ziyad Al-Aly de la faculté de médecine de l’Université de Washington, ne pouvait cacher sa déception lors d’une entrevue qu’il a donnée à Healthline :

Essentiellement, nous voulions savoir si les vaccins pouvaient nous protéger contre le COVID long et quelle protection est conférée par la vaccination. Nous espérions voir que les vaccins seraient protecteurs, mais, hélas, les résultats ont montré le contraire, [qualifiant les vaccins de] « bouclier imparfait ».

Les auteurs de l’article concluent :

Les résultats montrent que la vaccination ne réduit que partiellement le risque de décès et de séquelles post-virales, ce qui suggère que le fait de s’en remettre à elle comme seule stratégie d’atténuation ne permet peut-être pas de réduire de manière optimale le risque de conséquences sanitaires à long terme de l’infection par le SRAS-CoV-2.

Qu’en termes délicats ces choses sont dites!

 

Vaccin à ARN messager : une « Bombe à retardement au cœur même de nos cellules »?

Selon des résultats à paraître dans le Journal officiel de la Société chinoise de toxicologie (FCT), une revue de toxicologie de renommée internationale, les « vaccins » à ARNm du SARS-CoV-2 supprimeraient l’immunité naturelle!

Même s’il ne faut pas oublier que la Chine produit son propre vaccin, les principales constatations de l’étude ne lassent pas d’intriguer.

Les vaccins ARNM :

  • Provoqueraient la création d’un ARNm modifié aux effets complexes mais surtout imprévisibles;
  • Favorisent la synthèse soutenue de la protéine de pointe (spike) du SRAS-CoV-2, qui étant neurotoxique, entrave les mécanismes de réparation de l’ADN;
  • Entraînent une altération de l’immunité innée… et donc un risque potentiellement  accru de maladies infectieuses et de cancers;

Pour un résumé voir l’article de Bruno Bourgeon du 28 mai 2022 dans le journal Témoignages :

Les auteurs évoquent des maladies neurodégénératives, des troubles du foie, des cancers, des myocardites, des paralysies de Bell (paralysie faciale) ou encore de thrombocytopénie immunitaire (destruction des plaquettes dans le sang, qui ne coagule plus). Pire, les auteurs concluent que « des milliards de vies sont potentiellement en danger, étant donné le grand nombre de personnes auxquelles on a injecté les vaccins à ARNm ». Ils appellent « les institutions de santé publique à démontrer, avec des preuves, pourquoi les questions abordées dans ce document ne sont pas pertinentes pour la santé publique, ou à reconnaître qu’elles le sont et à agir en conséquence ».

Imaginez un instant les conséquences si les mises en garde accablantes de cette étude s’avèrent fondées ? Plutôt qu’un remède, nous serions-nous fait injecter, et à plusieurs reprises, une bombe à retardement au cœur même de nos cellules ? Comme toujours depuis le début de la pandémie, le flou est le plus total.

D’un côté il y a les alarmistes, comme les auteurs de cette étude, qui prétendent que l’inoculation de ces vaccins constitue potentiellement une catastrophe sanitaire. D’un autre côté, il y a les autorités politiques, et, force est de le constater, la totalité des autorités sanitaires qui disent exactement le contraire. Allant même jusqu’à nier les nombreux effets secondaires pourtant avérés.

 

Vaccination des enfants contre la COVID-19

La Commission Européenne veut vacciner les plus jeunes à la rentrée !

Virginie Jorron, députée européenne.

 

Justice : Le rapport secret de Pfizer

Inverview avec le Pr. Michel Chossudovsy à Horizons Politiques : Le vaccin covid et le rapport secret de Pfizer, « Les preuves des crimes contre l’humanité ». (16 mai 2022)

« Il n’y a pas de liberté de choix quand il s’agit d’un poison » affirme le Pr. Chossudovsy.

 

SUSPENDUS… DES SOIGNANTS ENTRE DEUX MONDES

Un documentaires sur les personnes suspendues en France est en accès libre ici, à voir absolument!

Pensée pour tous les suspendus : soignants et non soignants, pompiers, pilotes, travailleurs de l’aide sociale et du handicap, personnel non médical, et tous les autres !

Le plus incroyable est qu’alors que de nombreux hôpitaux ferment en France faute de soignants (on parle de 15 000 soignants non-vaccinés suspendus, surement plus), Emmanuel Macron affirme que « la réintégration des soignants non-vaccinés « n’est absolument pas une réponse »!

 

Une « épidémie de non-vaccinés » : le mythe à dissiper

Voici la traduction de la présentation d’un article scientifique publié le 26 avril 2022 dans l’International Journal of Vaccine Theory :

Nous avons réanalysé les données de l’Ontario sur les hospitalisations pour la COVID-19 chez les patients vaccinés contre la COVID-19 par rapport aux patients non vaccinés admis à l’hôpital au cours des différentes vagues de la pandémie. Malgré les affirmations du Conseil scientifique de l’Ontario et des médias de masse selon lesquels les non-vaccinés constituaient la plupart des hospitalisations, une évaluation plus rigoureuse des données existantes montre que cette analyse est incorrecte pour les dernières vagues du COVID-19. Nous avons ainsi identifié une série de problèmes méthodologiques qui ont pu conduire à des conclusions erronées, ce qui explique pourquoi les politiques sanitaires se sont montré largement inefficaces.

Et la conclusion :

Les responsables de la santé affirment que les non-vaccinés sont à l’origine de l’augmentation du taux d’infection et que la vaccination doit être rendue obligatoire pour ne pas dépasser la capacité des hôpitaux. Cependant, une inspection minutieuse des données indique que non seulement les politiques étaient basées sur des preuves de faible qualité et sérieusement biaisées, mais qu‘un examen plus approfondi des données réelles démontre le contraire de ce que le gouvernement prétend. Bien qu’il y ait eu une légère augmentation des cas parmi les personnes non vaccinées d’août à la mi-octobre 2021, reflétant l’augmentation des taux de dépistage, au début de décembre 2021, la majorité des cas concernait les personnes vaccinées.

De plus, cette recrudescence des cas a entraîné l’hospitalisation d’une proportion plus élevée de personnes vaccinées que de non-vaccinées. Malgré l’obligation de se faire vacciner et le taux élevé de vaccinnation, on a constaté la même chose aux soins intensifs. Enfin, la politique ne mettait pas suffisamment en balance les avantages escomptés de la vaccination et les risques connus de blessures et de décès qui, dans le cas des thérapies géniques COVID-19, l’emportent largement (événements indésirables, ARI de 17,9 % et 0,5 %) sur les avantages revendiqués des vaccins (cas symptomatiques, RRA de 3,7 % et 0,1 %).

Loptimisation des soins devraient être obtenue au moyen de débats et études scientifiques, en faisant recours aux plus hauts niveaux de preuve, à des soins individualisés et au consentement éclairé. Parce que la COVID-19 ne représente plus un risque pour la population en général, en raison de l’arrivée de souches moins virulentes comme Omicron ou la dernière variante B.2, et en raison de l’immunité généralisée de la population, il est temps d’abandonner l’obligation vaccinale, dépassée, et de revenir à des pratiques médicales solides et à des normes de soins établies. »

 

La variole du singe

Comme on l’a vu la semaine passée, le National Health Service (NHS) du Royaume-Uni vient de modifier sa page sur la variole du singe… Pour la rendre plus effrayante.

On pouvait y lire avant :

  • Le virus se propage difficilement
  • Et on guérit sans traitement

 

Maintenant :

  • Le virus se propage facilement
  • Et la maladie se traite difficilement

 

Cependant, Martin Blachier, expert de plateau qui était extrêmement favorable aux mesures sanitaires et à la vaccination (avant de changer de point de vue et de disparaitre des plateaux télé), affirme que « La variole du singe n’a aucun rapport avec le phénomène de masse qu’était la COVID-19″.

Malgré tout, en raison de cet emballement des médias et des autorités, la question d’un retour des restrictions sanitaires et d’une vaccination généralisée se pose-t-elle?

 

L’identité numérique

En marche rapide au Québec

Identité numérique, cours de biométrie à l’École de technologies supérieures (Éts), Sirois membre du CA de l’ÉTS, convergence bionumérique, crédit social.

Vous saurez tout (ou presque) sur l’avancement du projet d’identité numérique au Québec en visionnant cette vidéo de 10 minutes.

 

Le Traité de l’OMS lié à un système mondial de passeports et d’identification numériques

LE NOUVEAU TRAITÉ DE L’OMS À PROPOS DES PANDÉMIES FAVORISERA DES CONFINEMENTS PERMANENTS. Interview du Dr David Bell (EPOCH-TV 21 mai 2022).

Dès lors, le Dr Bell incite les citoyens à se renseigner rapidement sur l’histoire des pandémies et sur le faible risque que représente la COVID-19, à faire  pression sur leurs gouvernements et à demander qu’on fasse un débat  « rationnel »  sur le sujet, que l’on débusque les conflits d’intérêts qui opèrent actuellement et que les décisions soient dorénavant basées sur le bien des populations et non la recherche du profit.

Dr. Bell est médecin de santé publique. Il a précédemment travaillé à l’Organisation mondiale de la santé, en tant que responsable de programme pour le paludisme et à la Fondation pour de nouveaux diagnostics innovants (FIND) à Genève, et en tant que directeur des technologies de la santé mondiale au Fonds Intellectual Ventures Global Good Fund. Il siège maintenant au conseil d’administration de Pandemics, Data, and Analytics (PANDA), un groupe qui étudie la réponse mondiale à la COVID-19.

 

Médicaments pucés

Le PDG de Pfizer nous parle de pilules à micropuce ingestible : une fois que vous les avez ingérées, elles envoient un signal qui prouve que vous l’avez bien pris.

Quelles conséquences pour notre santé… et nos libertés?

 

Le Canada est-il toujours une démocatie?

Pas pour ce canadien d’origine indienne, qui considére maintenant le Canada comme un État autoritaire (NYPost du 21 mai 2022). 

En lisant l’article, vous apprendrez beaucoup de choses sur Justin, par exemple qu’il est nul en maths :

« I have a little confession to make, » he said. « I have a slight learning disability. I am disnumeric, » he says. Being « disnumeric » does not exist, though what Trudeau describes is likely dyscalculia or dysarithmia.

Mais aussi… en économie. Répondant à une question sur le renouvellement du mandat de la Banque centrale, il déclare :

« I don’t know. When I think about the biggest, most important economic policy this government, if re-elected, would move forward. You’ll forgive me if I don’t think about monetary policy. »

 

Et le Québec?

Pas si sur quand on voit que la CAQ vote la loi 28 qui met officiellement fin à l’État d’urgence sanitaire… mais qui dans les faits permet de le prolonger jusqu’en décembre 2022 en en conservant les principaux aspects. Le tout sans ne plus avoir à publier de nouveau décret tous les 10 jours, comme auparavant. Voici ce qui est indiqué en page 2, dans les notes explicatives :

« Le projet de loi permet au ministre d’ordonner à tout ministère ou organisme de lui communiquer ou de lui donner accès immédiatement à tout document ou à tout renseignement en sa possession nécessaire pour la protection de la santé de la population en lien avec la pandémie de la COVID-19.« 
Il s’agit là de pouvoirs exorbitants qui n’ont plus aucune justification. Rappelons que d’après l’INSPQ (Institut national de santé publique), il y a présentement 28 personnes aux soins intensifs dans tout le Québec en raison de la COVID-19.
 
On note aussi au point 2 de la loi (page 3) :
« Le gouvernement, le ministre ou toute autre personne ne peut être poursuivi en justice pour un acte accompli de bonne foi dans l’application de ces décrets et de ces arrêtés. »
 
Enfin, à la page 2, voici ce qui est écrit : « Par ailleurs, le projet de loi prévoit que la durée de certains contrats en vigueur qui ont été conclus par le ministre ou par un établissement de santé et de services sociaux pendant l’état d’urgence sanitaire peut être prolongée pour une période n’excédant pas, selon la nature du contrat, le 31 décembre 2022 ou cinq ans. »

 

La démocratie est en marche!

 

Pfizer condamnée par la justice

Le géant pharmaceutique, Pfizer, a été condamné ces derniers jours à une amende de 290 000 dollars pour avoir volontairement trompé des patients.

Une condamnation de plus, une de moins, quelle différence? Pfizer n’est plus à une condamnation près!

 

La pollution atmosphérique accentue la Covid-19

Des réactions plus graves au SRAS-CoV-2 sont associées à des niveaux plus élevés d’exposition à long terme aux contaminants atmosphériques (étude publiée dans CMAJ ce 24 mai 2022).