Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons….

 

Voici l’édition de la semaine du 15 mai.
Au menu :

  • Une analyse du dernier ouvrage de Laurent Toubiana, célèbre épidémiologiste français.
  • Une synthèse des dernières études sur l’efficacité et les effets secondaires des vaccins.
  • La stratégie vaccinale de l’Union européenne et une analyse du traité de l’OMS sur les pandémies.
  • L’accès de sincérité de Pfizer qui reconnait que son vaccin risque de ne pas obtenir une approbation d’utilisation permanente… et que son médicament miracle anti-covid, le Paxlovid, est inefficace.
  • Enfin, une analyse des dernières déclarations de Bill Gates, qui ne se repose jamais.

 

Impréparation, mensonges et manipulations, retour sur deux ans de crise du Covid-19

Le livre de l’épidémiologiste Laurent Toubiana, « Covid 19 – Une autre vision de l’épidémie » (Ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas), paru aux éditions de l’Artilleur, n’est pas un ouvrage scientifique mais il relate des résultats scientifiques.

Voici un résumé de l’interview de Laurent Toubiana dans Le Samedi Politique – TVL :  COVID-19 En finir avec la peur (13 mai 2022) :

  • L’épidémie arrivant de Wuhan n’était pas aussi grave qu’elle en avait l’air, contrairement au SRAS-CoV-1. La COVID-19 montrait les mêmes symptômes que la grippe, elle a donc pu se propager dans le monde et quand on a observé des cas graves, le confinement arrivait trop tard et était inutile car on était déjà dans la phase explosive de l’épidémie
  • Au début de l’épidémie, il y a eu une sidération et qui a été suivie par une gouvernance de la peur
    • 1er période : période sidération (à partir de mars 2020) :
      • Dans un premier temps on a fait fi des informations provenant de Chine
      • La prise de conscience de l’épidémie a lieu lorsqu’elle explose en Italie (on a vu tous les cercueils… mais on a omis de nous préciser que les personnes décédées étaient pour la plupart très âgées avec plusieurs comorbidités.
      • La panique se déclenche alors, avec des grandes messes qui venaient annoncer des nombres : de morts, de cas, d’incidences, de mortalité cumulée.
      • À noter que le Sénat français avait produit en 2010 un excellent rapport suite à l’épidémie de H1 N1 en 2010, avec une liste des erreurs à ne pas reproduire : on n’en a malheureusement absolument pas tenu compte. Au contraire, on a fait exactemement ce qu’il avait été dit de ne pas faire.
      • On remaquera à la page 3 de la synthèse cette note concernant le Canada, le Québec et l’efficacité vaccinale d’alors :

Au Canada, les choix des autorités publiques ont été très proches des choix faits en France, mais les résultats ont été très différents, puisqu’un tiers de la population s’est fait vacciner. Le taux de
vaccination a même dépassé 50 % au Québec. C’est aussi le pays où la virulence du virus A (H1N1) a été particulièrement élevée (souligné par l’auteur, ndlr).

      • Les états ont copié leurs réactions à la pandémie par mimétisme
        • Le seul pays ayant résisté à ce mimétisme est la Suède, une bonne question serait de comprendre pourquoi, tout comme le rôle qu’ont joué des cabinets de conseil comme McKinsey.
        • Fait intéressant lorsque l’on compare le Québec (qui a fait subir à son peuple des mesures très contraignantes) avec la Suède (plus libérale) qui ont à peu près la même proportion de population, on constate qu’il y a eu quasiment autant de morts en Suède (180 par 100 000 au Québec contre 183 pour la Suède).
        • Quand le confinement a été mis en place, l’épidémie était à son maximum et commençait déjà à décroitre.
        • La littérature scientifique a montré que le confinement n’a pas eu d’impact sur l’évolution de l’épidémie et a eu des impacts sociaux-économiques désastreux.
        • On donnait beaucoup de chiffres cumulatifs anxiogènes (morts et cas du jour ou depuis le début de la pandémie, etc.), mais pas les bons comme celui de la mortalité au cours des 28 derniers jours ou l’age des décès (84 ans en moyenne) ou encore le nombre de comorbidités (94 % des personnes décédées de la Covid ont 2 comorbidités ou plus). Il n’y a eu aucune surmortalité pour les moins de 65 ans, et une faible surmortalité pour les plus de 65 ans, uniquement lors de la première vague, alors que de nombreux décès attribués à la COVID étaient peut-être dus au manque de soins des ainés dans les CHSLD.
    • 2ème période (à partir de juillet 2020) masques obligatoires et systématisation des tests avec les questions suivantes : 
      • La vaccination de masse est-elle nécessaire pour une maladie relativement faible (99,9 % de la population a survécu) et qui a les mêmes symptômes que la grippe?
      • D’autant que les données qui pourraient montrer que la vaccination sauve des formes graves de la covid sont incertaines. Ainsi l’étude initiale de Pfizer qui montrait une efficacité de 95% est très critiquée et il est acquis aujourd’hui que le vaccin protège à peine et ce pendant à peine quelques semaines (cf. plus bas).
      • La question de l’autocensure de la part des scientifiques n’est toujours pas réglée car ceux-ci savent que s’ils parlent leurs carrières sont menacées.

 

Déclaration IV – Restaurer l’intégrité scientifique

Une déclaration conjointe, représentant 17 000 médecins et scientifiques médicaux pour mettre fin à l’urgence nationale, restaurer l’intégrité scientifique et lutter contre les crimes contre l’humanité.

17 000 médecins et scientifiques médicaux déclarent que l’état d’urgence médicale doit être levé, que l’intégrité scientifique doit être rétablie et que les crimes contre l’humanité doivent être résolus.

 

(In)Efficacité des injections : Nouvelles preuves

Une étude de cohorte publiée dans JAMA Netw Open (13 mai 2022) observe la disparition rapide (en 3 semaines!) des anticorps « neutralisants » après 2 ou 3 doses du vaccin à ARNm BNT162b2, principalement chez les plus de 65 ans!!!

Une autre étude cas témoins publiée dans JAMA Netw Open (13 mais 2022) afin d’estimer l’efficacité de 2 doses du vaccin BNT162b2 COVID-19 contre l’infection symptomatique par le CoV-2 de l’Omicron, observe une efficacité négative du vaccin aussi chez les enfants après 6 mois!

 

En Ontario, la proportion de cas parmi les personnes entièrement vaccinées dépasse à la fois les personnes partiellement vaccinées et les non-vaccinés. Cela indique une efficacité négative du vaccin :

Au Québec, Facebook vient de censurer le tableau de bord de Réinfo Covid :

 

Que montrait-il de si gênant pour qu’il soit censuré?

Probablement le fait que les vaccinés 3 doses qui sont 50 % de la population… représentent 70 % des nouvelles hospitalisations! Le différentiel est de 20 points et montre une efficacité négative, pour ne pas dire très négative! En fait, actuellement, un triple doses a 1,37 fois le risque d’un non-vacciné d’être hospitalisé.

Ces statistiques sont pourtant issues des données mêmes des autorités (déjà manipulées), ce sont des faits incontestables.

Et les données sur les décès sont toujours cachées!

Les québécois doivent être au courant, ce que fait Facebook est très grave.

 

Effets secondaires des vaccins

Les enseignants-chercheurs Emmanuelle Darles et Vincent Pavan ont soumis un rapport à l’OPESCT (Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques). Leurs observations : « Il y a autant d’effets secondaires des vaccins sur la période 2021-2022 que sur les 30 dernières années confondus »  et « l’OPESCT est au courant des effets indésirables des vaccins contre le Covid »

Le rapport est accessible ici.

Ils concluent que « de nombreux indicateurs statistiques témoignent que les injections ARNm Pfizer BioNTech et Moderna peuvent être plus létales que la COVID-19, notamment chez les jeunes où la balance bénéfice-risque est très clairement en défaveur du vaccin avec des facteurs de multiplication de létalité allant de 300 à plus de 500 par rapport à la létalité de la maladie elle-même. »

 

Quand une chaine de pharmacie tente de reproduire l’essai Pfizer…

Walgreens, la seconde chaine de pharmacies américaine fournit des données de surveillances précieuses sur la vaccination et la covid . A partir de ces données appliquées aux cohortes de l’essai Pfizer, la compagnie a pu refaire l’essai.

Le résultat est stupéfiant : l’efficacité des injections se révèle négative!

 

Ajoutons à celà que le journal britannique The Telegraph montre le 1er février 2022 que la COVID-19 a un taux de mortalité par infection inférieur à celui de la grippe…

 

Interview de Alexandra Henrion Caude

Dans cet entretien, Alexandra Henrion Caude, que l’on ne présente plus, décrypte les 80 000 pages d’effets indésirables que Pfizer a été obligé de rendre publique grâce à une décision de justice. Ce n’est pas fini puisqu’il reste plus de 200 000 pages à venir dans les prochains mois!

Que découvira-t-on au final?

 

Stratégie de l’Union européenne

Malgré tout cela, quelle est la stratégie de l’UE pour la suite de la pandémie?

Réponse : vacciner, vacciner, vacciner!

Stella Kyriakides, commissaire à la santé et à la sécurité alimentaire, affirme : « Nos citoyens peuvent enfin profiter de cette période avec nettement moins de restrictions dans leur vie quotidienne, après deux années et demie difficiles et peu ordinaires. Il est toutefois essentiel que les États membres maintiennent un niveau élevé de vigilance et de préparation en cas d’apparition de nouveaux foyers ou variants — la pandémie n’est pas encore terminéeNous devons redoubler d’efforts pour vacciner la population à l’échelle mondiale, maintenant que l’approvisionnement en vaccins n’est plus problématique. La manière dont la COVID-19 continuera d’influer sur nos vies dans les années à venir dépendra fortement des décisions que nous prenons aujourd’hui, dans l’UE comme sur la scène mondiale

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, abonde dans le même sens quand a elle affirme : « … nous savons désormais quelle voie suivre. Il nous faut intensifier encore la vaccination et l’administration de doses de rappel de même que les tests ciblés »

Voici quelques extraits du sommet international du Covid qui s’est tenu le 12/05/22. Cela vaut la peine de prendre 1 minute pour les regarder :  on constate que pour les dirigeants du monde entier, l’épidémie n’est donc « pas terminée ». En fait, les prochaines doses, jusqu’à la 7e, sont déjà prévues, comme on peut le voir sur un carnet de vaccination transmis par un Dr à l’ANSM (Agence National de Sécurité du Médicament et des produits de santé, France) :

 

Questions :

  • Comment peut-il y avoir 7 doses prévues sans aucun résultat d’essai clinique sur les doses 5, 6, 7 ?
  • Les 3e et 4e doses montrant une efficacité quasi nulle pour ne pas dire négative, quel intérêt de continuer à vacciner, d’autant que le « vaccin » est prévu pour la souche de Wuhan, qui a disparu!

 

Traité de l’OMS sur les pandémies

Traité de l’OMS sur la prévention des pandémies: des chercheurs polonais sonnent l’alerte

L’OMS préparant d’ores et déjà un « autre instrument international » pour renforcer la « prévention des pandémies », des chercheurs polonais tirent la sonnette d’alarme. Selon eux, souveraineté et liberté sont en danger, et il faut en parler.

Le 22 avril dernier, l’Association des médecins et chercheurs indépendants polonais s’est réunie à la Maison de la presse de Varsovie afin de mettre en garde la population internationale quant au projet de l’OMS : « Traité international sur la prévention des pandémies et la préparation à celles-ci ».
Selon ces chercheurs, ce type de collaboration pourrait être la porte ouverte à la perte de souveraineté pour les pays, ainsi que le risque d’instaurer des états d’urgences amenant à la perte des libertés des citoyens, dès lors qu’une épidémie sera déclarée.

 

Quand Pfizer dit la vérité…

Pfizer admet dans des documents transmis à la SEC qu’il ne peut probablement pas démontrer une efficacité ou une sécurité suffisante de ses vaccins COVID-19 pour obtenir une approbation d’utilisation permanente.

Dans la partie 1 du document, à la section Risk Factors Summary, Pfizer déclare :

« Il se peut que nous ne soyons pas en mesure de démontrer une efficacité ou une sécurité suffisantes de notre vaccin COVID-19 et/ou de nos formulations spécifiques à des variantes pour obtenir une approbation réglementaire permanente aux États-Unis, au Royaume-Uni, dans l’Union européenne ou dans d’autres pays où il a été autorisé pour une utilisation d’urgence ou a obtenu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle. »

Conclusion : La seule préoccupation de Pfizer est les facteurs de risque pour les investisseurs, et non les facteurs de risque des effets indésirables au vaccin, pour les victimes.

 

Autre vérité de Pfizer : l'(in)efficacité du Paxlovid

Dans un véritable accès de franchise (c’est assez rare pour le signaler) Pfizer reconnait dans la foulée que sa pilule miracle anti-covid, le Paxlovid, ne fonctionne pas.
C’est la compagnie elle-même qui l’affirme dans un communiqué :
“Dans cet essai, comparé au placebo, Pfizer n’a observé des réductions de risque qu’à hauteur de 32% et 37% chez les adultes à qui le Paxlovid a été administré pendant 5 ou 10 jours”.
Normalement, on n’accepte pas un médicament en-dessous de 50 % d’efficacité. Et on ne parle pas des effets secondaires…
Maintenant, on apprend que les USA ont commandé 20 millions de boites, la France 500 000 et le Canada 1 million.
Le cout du « traitement » est d’environ 700 $ US [environ 875 $ CA, NDLR]
Donc les USA vont devoir débourser 14 milliards, le Canada 875 millions et la France s’en tire bien avec « seulement » 350 millions d’euros.
Et cela fait suite à l’achat de millions de doses de vaccins dont plus personne ne veut et dont il va falloir se débarrasser car ils arrivent à leur date de péremption. Des milliards encore jetés à la poubelle.
Le tout pour lutter contre un variant qui est devenu un rhume.
N’oublions pas aussi le scandale du Remdesivir (en fait tout le monde l’a déjà oublié) à 2000$ le traitement alors qu’il a été démontré que ce médicament est inefficace et dangereux… tandis que les pharmaciens au Québec viennent d’obtenir l’autorisation de le prescrire… avec le Paxlovid!
Bon, ce n’est pas comme si on faisait face à des déficits records au point ou l’on n’arrive plus à financer les hôpitaux, les écoles, les routes, etc.

 

Malgré la COVID, Bill Gates ne se repose jamais

Bill Gates obtient un résultat positif au Covid (10 mai 2022) et dit qu’il présente des symptômes bénins : « J’ai la chance d’être vacciné et stimulé et d’avoir accès à des tests et à d’excellents soins médicaux », a-t-il écrit dans l’un de ses tweets.

Il a eu beau être vacciné, il a tout de même eu la COVID. Mais cela ne l’empêche pas d’affirmer quelques jours plus tard : « Les vaccins sont un miracle. C’est hallucinant que quelqu’un puisse dire le contraire » (The Guardian du 15 mai 2022)

Cela vient aussi après qu’il ait témoigné de sa déception à l’effet qu’Omicron se soit révélé plus efficace que les vaccins.

Mais Bill Gates n’est apparemment pas à une contradiction près et même s’il reconnait qu « malheuresement Omicron fait un meilleur boulot » que les vaccins, il appelle à une vaccination aux 6 mois : « Pour les personnes de plus de 50 ou 60 ans, elles devront probablement être boostées tous les 6 mois jusqu’à ce que nous obtenions des vaccins encore meilleurs ; nous sommes donc dans la poursuite de la vaccination pour rester absolument en sécurité…»

Mais est-il sécuritaire d’innoculer tous les 6 mois un produit expérimental reposant sur une technologie jamais utilisée auparavant et dont on ne connait pas les effets à long terme… le tout pour se prémunir d’un rhume?

Il est temps que Bill Gates prenne du repos.

 

Pétition

On en parle très peu au Québec mais l’identité numérique (que notre ministre Eric Caire nomme « portefeuille numérique »), qui risque de nous mener au crédit social à la chinoise, avance très vite.

Nous vous invitons à signer cette pétition pour le droit de refus d’un portefeuille numérique québécois.

 

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