Revue de presse de la semaine du 14 mars

Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.

Que se passe-t-il à Hong Kong?

La mortalité suite à la COVID-19 n’a jamais été si élevée, pourtant environ 70% de la population est correctement vaccinée et 14% a reçu une dose. C’est beaucoup plus que les États-Unis qui n’ont que 65% de leur population qui est entièrement vaccinée (12% ont reçu une dose). C’est à surveiller.

Traitements de la COVID-19

« Lettre à Andrew Hill » : ce chercheur a-t-il volontairement saboté les données sur l’ivermectine pour empêcher son approbation? Les Drs Tess Lawrie, Pierre Kory et Paul Marik s’adressent à lui (février 2022).
- Andrew Hill a été l’un des premiers et des plus ardents défenseurs de l’ivermectine. Un de ses articles montrait que l’ivermectine pouvait réduire les décès de 75 % si elle était prescrite dans le monde entier.
- Sans explication, quelques jours avant sa publication, l’article est apparu sur un serveur de prépublication, avec des conclusions modifiées. Au lieu de conclure que l’ivermectine – l’un des médicaments les plus sûrs et les moins chers au monde — devrait être déployée à l’échelle mondiale, l’article conclut désormais que des études supplémentaires sur l’ivermectine sont nécessaires avant de pouvoir la recommander dans le monde entier. Compte tenu de la totalité des preuves scientifiques concernant l’ivermectine, il s’agit d’un revirement stupéfiant, voire choquant, de la part du Dr Hill.
- Qui a menacé Andrew Hill pour qu’il change les conclusions de son article? Unitaid?

Connaissez-vous l’acide tannique?

- L’acide tannique est un polyphénol naturel que l’on trouve, en faible quantité, dans de nombreuses boissons telles que le vin rouge ou le thé.
- Une équipe de chercheurs québécois a montré que l’acide tannique empêche la protéine virale (RBD) de la variante britannique du SARS-CoV-2 de se lier à sa cible biologique, le récepteur ACE2. Ce récepteur, qui se trouve à la surface de nombreuses cellules du corps, permet au virus de les saisir et de les infecter. L’acide tannique se lie à la protéine RBD et l’empêche de se lier au récepteur ACE2.
- L’acide tannique ne modifie pas les fonctions physiologiques des récepteurs ACE2, qui ont des fonctions physiologiques dans les systèmes respiratoire, cardiovasculaire et rénal du corps, entre autres.
- Ce polyphénol inhibe aussi l’activité de l’enzyme qui permet au virus d’entrer dans nos cellules (TMPRSS2), ainsi que l’enzyme virale responsable de la réplication du virus (3CLpro)
- La quantité d’acide tannique présent dans le vin ou le thé est trop faible pour agir contre le SARS-CoV-2, par contre un spray nasal pourrait être envisagé comme moyen de prévenir ou de bloquer l’infection par le CoV-2 du SRAS.
- Rappelons que l’acide tannique et ses dérivés physiologiques ont des propriétés anti-inflammatoires et anti-oxydantes.

Les vaccins à ARNm : Est-ce l’avenir?

Oui affirme Big Pharma :
- Moderna veut accélérer la recherche sur une quinzaine de vaccins à l’aide de la technique ARNm. Pathogènes visés : le virus du chikungunya, la fièvre hémorragique de Crimée-Congo, la dengue, Ebola, le paludisme, la tuberculose, la fièvre de Lassa, et le Mers-CoV.
- Le PDG de Pfizer, Albert Bourla, nous promet pour bientôt un vaccin anti-Covid universel qui fonctionnera contre tous les variants. Comment sait-il à l’avance quels variants vont émerger? Comment assurer que le vaccin sera efficace contre des variants qui n’ont pas encore émergé? Et pourtant, nous verrons, ci-dessous, que la vaccination contre la COVID-19 a été un échec.

Non affirme le nouveau chirurgien général (chef de la santé publique) de la Floride, le Dr. Joseph Ladapo.
- Le Dr. Ladapo est diplômé de la Harvard Medical School et est également titulaire d’un doctorat en politique de santé de la même université. Il est chercheur en politiques de santé et médecin à la David Geffen School of Medicine de l’Université de Californie à Los Angeles. Le chirurgien général de la santé pour un État des USA, est l’équivalent d’un directeur/ministre de la santé.
- Selon lui, « la santé publique n’implique pas qu’un seul élément » (le vaccin COVID). « L’État devrait promouvoir une bonne santé, et la vaccination n’est pas la seule voie pour y arriver. Elle a été traitée presque comme une religion et c’est insensé« , a-t-il déclaré. « Nous soutenons les mesures pour une bonne santé – la vaccination, la perte de poids, l’exercice, la consommation de plus de fruits et de légumes. ».
- Lundi, le 7 mars, il s’est prononcé contre la vaccination COVID des enfants et contre le port obligatoire du masque de moins de 17 ans en bonne santé. Évidemment, il s’est attiré les foudres de médecins favorables aux mesures et des CDC qui recommandent de vacciner même les enfants de moins de 5 ans, prétextant que la COVID-19 est l’une des 10 principales causes de décès chez les enfants âgés de 5 à 11 ans.
  - N’oublions pas que la prévalence de l’obésité infantile (2 à 19 ans) en 2017-2018, selon les CDC, était d’environ 20 % et pouvait atteindre 25,6 % chez les enfants hispaniques.
  - N’oublions pas non plus que le principal facteur de mortalité due à la COVID-19 est justement l’obésité

Efficacité des vaccins anti-covid : un échec ?

Sur la transmission du coronavirus
- Première constatation écrasante : au 31 décembre 2021, 9,3 Milliards de doses avaient été administrées, et 50 % de la population mondiale avait reçu 2 doses ou plus. Cela n’a pas empêché, à partir de cette date, d’avoir une vague 4,5 fois plus intense que les précédentes !

- Et si on reprend les cas par pays, on constate que les pays les plus vaccinés sont ceux qui ont le plus de cas, et inversement.

Sur la mortalité
- Année 2020, sans vaccins : 1,91 millions de morts
- Année 2021 avec grande campagne vaccinale, jusqu’à 50% de double dose : 3,61 millions de morts, soit presque le double.
- Année 2022, après 9,3 Mds de doses : 0,56 millions de morts en 2 mois, soit plus de 3 millions sur 12 mois, pour un variant, nous l’avons vu, 4,5 fois moins létal que ses prédécesseurs !

Qualité des données de mortalité post-vaccinale

Intéressant preprint publié par une équipe britannique qui alerte sur la mauvaise qualité des données de mortalité post-vaccinale en Angleterre.
Cet article dénonce le fait que certains décès survenant peu de temps après la vaccination sont classés à tort comme des décès non vaccinés.
Les auteurs conclus que « l‘ensemble des données est donc corrompu, ce qui rend caduques toutes les déductions sur l’efficacité ou la sécurité des vaccins qui reposent sur ces données. »

Légende : Estimation des décès pour l’Angleterre qui n’ont pas été inclus dans l’ensemble de données de l’Office National des Statistiques (ONS) tracé par rapport à la population du National Immunisation Management System (NIMS) appartenant à la catégorie dans les 21 jours suivant la première dose (en utilisant une moyenne mobile sur trois semaines)

Effets indésirables des inoculations

Plus de 1000 études et/ou rapports scientifiques sur les dangers associés aux injections COVID liés à la coagulation du sang, la myocardite, la péricardite, la thrombose, la thrombocytopénie, l’anaphylaxie, la paralysie de Bell, Guillain-Barre, les décès, etc.
Troubles menstruels : D’après le ministère de la santé israélienne, 10 % de femmes en Israël, soit plus de 200 000 femmes, connaissent des troubles menstruels après l’injection d’ARNm. Qu’en est-il de la santé des ovocytes après ces troubles?
Voici ce que montre le Vaersanalysis.info. Nous ne reproduisons que le graphique des problèmes du système reproducteur féminin mais vous retrouverez des données similaires pour toutes les pathologies . Inutile de commenter :

Pour ceux intéressés par les vaccins « classiques » qui arrivent sur le marché, nous vous conseillons d’écouter la Dr Loretta Bolgan, experte italienne en vaccins et technologies pharmaceutiques.

L’identité bio-numérique et le crédit social

Pour avoir une idée de ce qui nous attend au Québec et dans le monde occidental au sujet de l’identité bio-numérique ou pire bio-métrique, il est recommandé de visionner cette vidéo : Ma femme a du crédit (52 min).
- Le but de l’identité numérique est officiellement de faciliter la vie des citoyens. Cependant, beaucoup s’interrogent sur ce projet technologique. D’apès Michelle Blanc (stratège en marketing web), « le fachisme est la porte suivante » (à 37’20).
- Pouquoi? Car on se dirige vers un crédit social à la chinoise qui accorde des points ou en retranche en fonction de votre conformité aux attentes du gouvernement : si vous obéissez à tout ce que le gouvernement vous demande de faire, vous gagnez des points (cela peut aller de traverser la rue à la lumière verte à se faire vacciner). Si vous ne le faites pas ou mal (par exemple critiquer les autorités), il vous en retire.
- Cela crée au final des catégories d’individus comme des bons citoyens, des citoyens moyens, … et finalement des mauvais citoyens. Bref, une ségrégation, un apartheid avec des sous-citoyens
- Finalement, les très bons citoyens obtienenent des privilèges, comme par exemple prendre des vacances, voyager, accéder aux hôpitaux, etc. Les sous-citoyens eux ont voient leurs droits se réduire, jusqu’à être condamnés à la marginalité (puisque le système peut vous empêcher de faire des achats).

Justice

Voici la référence pour suivre le Grand-jury.
Suisse :
- « La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a condamné mardi 15 mars la Suisse pour «violation de la liberté de réunion» devant les mesures, jugées disproportionnées, d’interdiction des manifestations publiques adoptées en 2020 face à l’épidémie de Covid-19. »
- Des mouvements citoyens demandent une enquête sur les mesures Covid.
Tout cela doit être accompli dans l’ensemble des pays du monde entier (ou presque) :
- Les mesures imposées aux populations depuis deux ans ont été sans précédent. Elles soulèvent une ensemble de questions quant à leur pertinence et à leur conformité au droit, notamment constitutionnel. Covidhub de Suisse, tout comme RéinfoCovid ont abondamment souligné combien les affirmations péremptoires des autorités politiques et scientifiques au sujet des mesures prises ne reposaient ni sur les connaissances validées en santé publique, ni sur des données scientifiques probantes.
- Après deux ans de focalisation obsessionnelle sur le Covid, la situation en Ukraine capte désormais toutes les attentions. Mais le risque est énorme à vouloir trop vite tourner la page : d’abord parce que le message a été clairement énoncé par les autorités que les mesures qui ont été imposées le seraient à nouveau à la première occasion. Renoncer à en évaluer la pertinence serait donc irresponsable.